Prologue

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« Tandis que la vie s'écoule de mes paumes

Je ne peux me pencher et ramasser les morceaux

Peut-être que le temps de dire « il est trop tard pour tout » est passé. »

Maintenant, mes mains sont complètement vides, mes mots sont ivres, mon cœur est en mille morceaux

Cet Amour a disparu à l'intérieur, est-ce utile qu'il brille dans les yeux ?

Bien que ce fût l'espoir qui nourrissait les sentiments et disait « Tiens le coup, mon cœur »

Un vent obscur et profond a tout recouvert. Il ne me reste plus que mon âme.

J'ai traversé des rivières déchaînées, des pluies poussiéreuses, des routes rocheuses

J'ai abandonné ma vie égarée, ma dulcinée au parfum grenade, j'ai abandonné tout ce que j'avais.»

Il observait le désert qui s'étendait devant lui. Le cœur serré, le corps meurtri, plus rien ne pouvait le rattacher à la vie. Sa raison de vivre n'existait plus, c'est pourquoi il ne se souciait plus de lui-même.

Il jeta un coup d'œil à sa montre.

« C'est parti » souffla-t-il dans un soupir las.

Il couvrit sa tête, cachant sa chevelure rose qui faisait son identité. Il empoigna le seul ami qui était encore à ses côtés, cet ami qui avait pris beaucoup de vies : son fusil qui ne le quittait plus depuis des années. Il se mit à marcher droit devant lui, le regard vide. Au loin apparaissaient plusieurs véhicules. Il s'agissait d'un convoi de marchandises. Il sortit un boitier de sa sacoche puis appuya sur le bouton. Cela déclencha une série d'explosions qui détruit tous les véhicules. Les hommes qui avaient pu s'échapper n'eurent pas le temps de comprendre ce qu'il se passait, que le rose les abattus tous, un par un, sans pour autant prendre le temps d'interrompre sa marche. Une fois arrivé devant le premier camion qui n'était pas totalement détruit, il se dirigea vers le côté passager. Il ouvrit la portière, faisant tomber un homme ensanglanté, à moitié mort. Il pressa son oreillette pour activer son appareil de communication :

« Mission accomplie ».

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« Il manque ta tête sur mon épaule, ton odeur dans mon lit

Il manque ta peau contre la mienne, viens me toucher

Les nuits me manquent le sommeil, un sourire sur le visage

Il manque ta main dans la mienne, mais pas les larmes à mes yeux.

Qu'importe, reviens, ne les ravie pas

Brise le sceau de ces magies noires

Rien ne va sans toi, ton absence est indescriptible

Vois-tu, quand je dis que tu manques, ce n'est pas suffisant... »

Son regard vide balayait la rue à travers la fenêtre. La nostalgie prit possession d'elle, la pluie l'accentuant encore plus. Elle se remémorait les moments passés avec lui, à tout ce qu'ils avaient vécu. Elle se souvint de toutes les belles choses, puis vinrent les mauvaises. Son cœur se serra, elle tenta de retenir ses larmes, mais en vain. Elle les essuya, marmonnant :

« Je m'étais promis de ne plus y penser... merde ! »

Ses cheveux couleur or se collaient à son visage humide. Elle se leva puis se dirigea vers sa salle de bain. Elle se regarda quelques secondes dans le miroir, se plaignant de son apparence. Elle ouvrit le robinet et passa de l'eau sur son visage.

Une fois qu'elle fût remise de ses émotions, elle se dirigea vers une porte, au fond du couloir. Elle frappa deux coups, puis l'ouvrit tout de suite après.

Elle découvrit une jeune fille, d'environ 12 ans, installée sur son bureau, qui griffonnait sur un papier, un casque sur la tête. Elle n'avait pas remarqué que quelqu'un venait d'entrer dans sa chambre. La blonde tenta :

« Layla ? »

La jeune fille ne répondit pas. Elle décida alors de s'approcher d'elle pour attirer son attention. Elle s'arrêta net quand elle vit ce qu'elle était en train de faire. Elle dessinait, mais pas n'importe quel dessin, elle avait pris pour modèle, une ancienne œuvre de l'artiste qui se faisait appeler « Julia ».

Le regard surpris de « l'intruse » se changea en un regard attendrit. Elle posa une main sur l'épaule de la jeune fille qui sursauta, puis se tourna vivement.

 « Maman ? 

- Qu'est-ce que tu fais ?  demanda la mère.

- J'essaye de créer mon propre style de dessin, en m'inspirant de celui de Julia ! Regarde ! »

Elle montra son œuvre à sa mère qui était impressionnée par sa beauté.

« C'est magnifique ! 

- Merci maman ! C'est normal, je me suis inspirée de la meilleure ! 

- Tu l'aime vraiment beaucoup », constata la blonde.

- Oui ! C'était une grande artiste ! Malheureusement, elle a perdu la vie avant même que je sois née... »

La mère, voyant l'air triste de sa fille, la prit dans ses bras pour la consoler. Elle profita également de ce câlin, repensant à la mort de sa propre mère qui n'était autre que cette même artiste qui avait adopté le pseudonyme de « Julia ». Très peu de personnes savaient que son véritable nom était Layla Heartfilia. Elle déposa un baiser sur la tête de sa fille, puis proposa :

« Allez, on va commander une pizza pour le dîner. Ça te va ? »

L'air triste de la jeune fille à la chevelure rose se changea en une expression joyeuse. Elle acquiesça énergiquement, faisant rire sa mère. Cette dernière attrapa le téléphone et appela leur pizzeria préférée. A la fin de la commande, partagea ses coordonnées :

« Le nom ? C'est Lucy Heartfilia ».

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TADAAAAM !

Vous ne vous y attendiez pas avouez ! Moi non plus xD Non, en vrai j'ai décidé de me lancer dans une nouvelle aventure de fou !

Faire une suite OFFICIELLE de "Arrête-moi si tu le peux !"

Ça va être chaud, je ne vais pas publier régulièrement mais au moins, je me  ferais plaisir à moi et, peut-être, à vous aussi ! Du coup, je suis émue !

J'ai réfléchit longtemps avant de prendre cette décision car souvent, les "suites" ça gâche, en quelques sorte, l'histoire originale. Mais bon, on verra ce que ça va donner !

Du coup, je met en pause ma fanfic "Résurrection" parce que ça va être chaud de gérer deux histoires.

Je remercie du fond du coeur SsYuutasS et @BaekAri3 (j'arrive pas à taguer bordel !) qui se sont portées volontaire pour corriger mon histoire, sans oublier Canellepointcom qui, en plus de la correction, a eu la gentillesse de me faire une jolie couverture !

J'espère que mon histoire vous plaira. Je vous cache pas que je stress un peu, comme si c'était la première fois  que je postais une histoire mdrrr ralala je vais dormir.

Allez, je vous dis à la prochaine, prenez soin de vous !

TCHOUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUU

Recherche Du BonheurOù les histoires vivent. Découvrez maintenant