Jamais je ne me suis sentie si triste que lorsque je tenais ton petit corps sans vie... Cette après-midi à tellement été dur pour moi. Mais pour toi aussi, tu t'es battus, pendant 4h, sur mes genoux contre le mal qui te rongeais, mais malheureusement tu ne l'as pas eu. Cette espoirs que ce ne soit rien, que tu irai mieux, restait en moi. Je me sentais tellement coupable de ne rien avoir fait pour t'aider, abrégé tes souffrances, que j'ai rejeté la faute sur ma famille, mon père qui ne voulais pas prendre la peine de cherché un vétérinaire un dimanche, ma mère qui disait que ce n'était qu'un coup de chaleur... et moi en larmes qui te tenais fermement comme si j'avais peur que tu parte. Et ce fut le cas. Jamais je n'ai autant crié que lorsque je n'ai plus sentit ton souffle dans mon cou, ton coeur battre sur ma poitrine. Jamais... mais jamais je ne t'oublirai. Je t'aimerai pour toujours.
