The Queen ( EN PAUSE DUREE INCONNU)

Partie 8 L'anniversaire (1/3)

Je suis réveillé très tôt, par Marianne.

- Réveillez-vous, mademoiselle ! Il faut vous préparer !

- Mmmmmh.....! Pas envie...! Pourquoi... ?

- C'est l'anniversaire du roi ! Vous avez également été convié à y aller !

Mmmh.. L'anniversaire du roi.... Attends. Quoi ?! Je me relève en sursaut, ce qui fait sursauter Marianne.

- Quoi ????

- C'est l'anniversaire du roi..

- Attends.... Je suis resté inconsciente combien de temps ??

- Environ deux semaine edemi.

- Quoi ?????

Je sors de mo lit, et le déshabille immediatement, puis, je me jette litteralement dans le bain. Marianne, commence à me lever, puis continue de frotter de la tête au pied. Enfin elle me fait sortir et le sèche, puis, vient le moment que je déteste. L'ennemie de toute les femmes qui vivent dans la haute société, et également leur pire cauchemar.... Le corsaire...

-....! Ma...rianne...!! Peux plus.....respirer...!!!

- il faut que vous le supportiez, mademoiselle !!!

Elle serre encore une fois, ce qui a le mérite de m'achever....

- Argh !!! Franchement.... ça devrais être interdit, cette torture....

- Ce n'est pas une torture, mademoiselle !

- Alors, sa doit en devenir une !!! Je peux à peine respirer la dedans !!!

Elle ris doucement.

- Courage, mademoiselle ! Alors qu'elle robe voulez-vous prendre ?

- Heu.... Je crois que je vais vomir...

- C'est pour cela que vous ne devez rien manger, avant de vous être habituée au corsaire.

Je me souviens que dans ma vie précédente, je l'avais fait serrer jusqu'à ressemblez à une paille. L'horreur. J'avais même mit une robe noir, qui couvrait à peine mon corps...
Mais, aujourd'hui, ce sera différent. Je parcours les nouvelles robes que j'ai acheté et en choisi une bleu, qui faut un peu violet... elle n'a pas beaucoup de décoration, ni pas assez.... elle a quelque perle dessus, et couvre parfaitement mon corps. Parfait. Je m'ennuie, et à mon plus grand bonheur, il faut relâcher un peu mon corsaire. J'ai l'impression de vivre à nouveau, même si à mon goût, ce n'est pas assez... Mais c'est mieux que rien, je n'ose imaginer si il avait fallu la resserrer... Puis, vient le maquillage et la coiffure. Marianne sort une tonne de produit, mais je refuse qu'elle me l'êtes la moitié d'entre eux. Pour les lèvres, au lieu de mettre un rouge éclatant, je mets une couleur un peu plus fade, une couleur pêche rose pâle, et c'est parfait pour moi. Enfin, met cheveux. Je refuse de les garder lâché ou de les boucler. Ils sont très bien naturel. Elle soupir, mais cède à ma requête et me fait un chignon, ni trop serré, ni trop relâché, et arrange mes cheveux pour que quelque mèche me tombe sur le visage. Ensuite, elle insiste pour me mettre quelque perle dans les cheveux. Elle insiste fermement en me montrons un visage que je ne lui connaissais pas.... Je cède à mon tour à sa requête. Elle en mets pour quel soit visible, mais n'en mets pas de trop, pour que ça ne fasse pas, je cite " too much"... Ou a-t-elle appris l'anglais ? Aucune idée. Je suis fin prête, et mon frère vient me chercher. Wow. Je ne l'aurais jamais cru. Dans ma vie précédente, en me voyant, il m'avait juste montré son dégoût et son mépris. Alors, qu'il vienne m'acceuillir devant ma porte ! Avant de me lever, j'ouvre un tiroir, qui contient deux aiguille très long et fine.

- Marianne ? Peux-tu les placer dans mes cheveux ?
Elle ecarquille les yeux, mais ne dit rien et aquièce. Elle les arrangent en croix. J'attrape une boucle d'oreille que je n'avait jamais remarqué. Il y a le signe de notre maison, et un petit fille de chaîne pends, relié a un diamant. Je souris. J'ai une idée. Je vais bien m'amuser, ce soir. Nous montons dans la voiture, avec mon père. Lorsque je sors, mon frère me tend son bras. Bien sûr, je suis surprise, mais je l'accepte volontiers avec un sourire. Il rougit des oreilles, mais tente de le cacher. Il n'est pas doué... Tel père, tel fils. Nous entrons dans la salle de bal, et je leur donne une excuse bidon pour m'éclipser. Je me faufile entre les invités et.... Je sourit. Je l'ai est trouvé. Les trois ladys qui était également convoquée par la reine. Je sais exactement ce que je vais faire.

- Lady Rucopion, lady Saze, et enfin, lady Zetz... cela fait déjà un moment depuis la dernière fois que nous nous sommes vu. Comment allez vous ?

- Nous allions très bien, jusqu'à récemment.

- Ah ? Que ce passe-t-il pour que vous vous sentiez mal ?

Je sais qu'elle fait synonyme de ma présence, mais j'ai envie de la faire exploser. Je vais d'abord la mettre à bout, pour la phase une.

- Et bien... l'arrivée d'un imprévu. Sachant que ce n'était pas voulu. Et que ça ne le sera jamais.

- Ho... ce pourrait-il que vous parliez de l'imprévu au rendez-vous avec sa Majesté ? Cela est vrai que vous vous êtes comporté assez.... ridiculement.

Elles serrent toute de la mâchoire et me fixe comme si elles pouvaient me tuer d'un regard. Tout fonctionne comme sur des roulettes.

- Vous savez, vous devriez devenir chanteuse dans une chorale... dans une église, par exemple. Vos voix étaient si aiguë... j'ai cru qu'elles pourraient prendre feu. Enfin, et dire que vous avez osé faire ça devant Sa Majesté ! Vous êtes vraiment courageuse ! Ho, mais, je vais devoir vous laisser, malheureusement.... Je suis attendu ailleurs. Au revoir, je l'espère.

Je fais mind de m'éloigner, et lorsqu'elle ne me regard plus, je me cache derrière un pilier, assez près pour les entendre.

- Non mais, comment ce fait-il qu'elle encore vivante ?!

- Venir ainsi nous faire honte ! Vous l'avez entendu ?? La chorale ! De l'église en plus ! Pourquoi est-ce quelle ne peut pas tout simplement mourir ?? Argh !

- Taisez vous ! Concernant le poison, je me suis moi même assuré qu'il puisse agir pour la tuer. Je l'ai moi même mise dans sa tasse de thé, chez la reine. Je suis arrivé un peu en avance, et dans chaque tasse, j'en ai mis. Comme je sais qu'elle n'aime pas les macarons, j'ai glissé l'altitude dedans. Mais à aucun moment n'y a-t-elle touché. J'en suis certaine. Mais elle a quand même survécu. Elle va être une cible plus difficile à tuer que je le pensais. Mais, ne vous inquiétez pas. J'ai un plan B. Si je ne peux pas la tuer physiquement, alors, j'y arriverais psychologiquement.

J'écoute attentivement ce quelle dit.
La soirée s'annonce très mouvementé.