Loup garou 2: Nouvelle génération

Chapitre XLII

Deux semaines plus tard

PDV de Karité

Le téléphone sonne jusqu'à s'qu'April réponde .

- Allô ?
- Salut April.
- Salut ça va ?
- Oui, euh j'voulais te demander toi qui est proche de Dylan. Tu dois savoir où il habite non ?
- euh là pour l'instant il est chez son cousin mais il y as une fête entre latino qu'on fait chaque année chez son oncle . J'irai pas cette fois alors je pourrais pas t'y emmener mais j'peux te dire où ça c'trouve.

Je soupire de soulagement.

PDV de Victoria

On as dû repousser le brunch de deux semaines à cause de hé ne sais plus trop s'que mon frère m'a invité comme excuse.

Alors nous y voilà.

PDV de Tori

- Alors Valentin, t'as quel âge ? Demandais-je.
- 14 ans .
- vous êtes ensemble depuis combien de temps ?
- on est pas ensemble. Dit Victoria.
- ouais pas encore.
- quoi c'est prévu ? Demande John ?
- En fait on a envie de se caser, mais on a peur que le titre change un peut nos relations. Explique Valentin.
- je pense pas que ce soit un titre qui fasse les sentiments. Dit John.
- ouais, si tu l'aime vraiment pas besoin de demander vous savez déjà que vous êtes ensemble de toute façon. Expliquais-je.
- tu pense que c'est possible de pouvoir se dire «couple » alors qu'on s'est jamais embrassé ? Demande Victoria.

Son frère la regarde bizarrement.

- bah quoi c'est vrai. Vous, vous vous êtes déjà embrassé par exemple ?
- euh... non c'est vrai. On ne s'est jamais embrassé et pourtant on est bien en couple. Donc tu vois bien que c'est possible.
- ouais. Disent-ils en même temps
- alors vous êtes en couple ? Demandais-je avec le sourire.

Ils échangent un regard avant de sourire.

- oui.

Je souri à mon tour et lance un regard à Jhon qui restait perplexe face à la situation.

Ils chuchotèrent entre eux et je profite à glisser sur le même ton .

- ça va ?
- oui t'inquiète. Fit-il en souriant légèrement
- j'trouve que vous allez super bien ensemble. Sourit Victoria.

Je lui rend son sourire contente de plaire à ma belle-famille.

PDV de Karité

Je tourne à l'intersection de la rue les yeux toujours sur la carte de mon téléphone.

Je marche en suite devant trois grandes maisons et m'arrête devant celle de l'oncle de Dylan.

Elle était très grande, belle, à deux étages et au mur orange.

De la musique latine traversait les murs et je sentais une certaine agitation.

Je monte les quelques marches et sonne.

Je respire un grand coup et une grande femme avec une robe rouge vient m'ouvrir la porte .

Elle avait un grand sourire et un accent espagnol prononcé.

- Bonjour, je peux t'aider ?
- bonjour, je suis une amie de Dylan, je voulais le voir.
- oh. D'accord, entre je te l'appelle.