On m'a souvent dis que je faisais mavictime, que j'exagérais, que globalement c'était moi la méchantedans l'histoire que j'étais chanceuse dans ma vie et que je n'avais aucunement àme « plaindre ». Comme si les gens conaissaient mieux votre vie que vous même.
Mais je vais rassurer tous ceux qui ontmaintenant peur de parler de leur problèmes, SE PLAINDRE c'est seconfier, se plaindre c'est le terme négatif que l'on accorde au faitde parler de ce qui ne va pas quand ça ne va pas. Alors plaigniezvous, tout problèmes, tout mal être se doit d'être exprimer, netomber pas car vous vous croyez seul.
Je dis ceci en connaissance de cause,se sentir seul alors que l'on a des amis, juste car ils ne nouscomprennes pas, c'est une souffrance horrible. J'ai et je fais une phobie scolaire, je reviendrasi d'ailleurs après sur ce point, essayer d'en parler à quelqu'un qui ne le vie pas c'est comme parler avec un mur. L'incompréhension est l'une des pires sensations, on se sent seul, abandonner et on ne sait plus où aller.
On ose pas la plupart du temps parler, dire ce qui nous déranges, car on aurait peur de déranger les autres, de n'être qu'un boulet. C'est le sujet de l'accumulation, comme si à l'intérieure de nous, nous avions un sac où chaque problème, souffrance tombait dedans. Mais vous le savez tous comme moi, ce sac à un fond. Quand on l'atteint, c'est une bombe à retardement qui est arrivée à la fin du compte à rebourd.
D'ailleurs la manipulation fait partie des choses qui m'ont particulièrement détruit psychologiquement.
Cette première partie n'est pas très bien rédiger, les prochaines seront bien évidemment plus élaborer et précise.
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Jusqu'à 16 ans
RandomJ'ai 16 ans, dans 6 mois 17. On parle beaucoup du stress des adultes, de leur mal être. Mais nos "caprices", nos incompréhensions, nos incertitudes, nos milliers de questions. Personne n'en parle. Aujourd'hui j'ai décider de m'exprimer, de parler p...