Prologue

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Trois hommes vêtus d'uniforme de la police avancèrent arme en joue et lampe de torche brandit devant eux. Ils traversèrent la grande salle d'une usine remplit de machine abandonné depuis bien longtemps. Un des trois, un certain Carolie à la cinquantaine bien tassé et aux cheveux poivre et sel proposa « on se sépare pour couvrir plus de terrain. Morreau, dit-il en désignant un jeune homme d'une vingtaine d'années mince, tu vas aller à gauche, Charry à droite, commanda-t-il à une femme de trente ans au cheveux brun tiré en arrière, et moi je vais voir tout droit ». Sur ces ordres les trois agents partirent chacun de leur côté.

Doucement, Carolie avança en essayant de ne pas faire de bruit mais comme dit toujours sa femme il n'est vraiment pas discret en plus quand il essais de l'être c'est pire pourtant dans son métier la discrétion est très importante.

Il arriva devant une grande porte en fer blindé, il l'ouvra difficilement. Derrière celle-ci il vit un long couloir sombre. Le policier prit une grande inspiration pour lui donner du courage, poussa plus la porte pour qu'il arrive à faire passer sa grosse bedaine et descendit les marches. Une à une son courage se faisait de moins en moins présent, sa respiration plus saccadée et il sentit son pout accélérer. En bas il entendit quelque chose tomber, un objet en fer, il cria au néant « Police ! Est-ce que quelqu'un est là ? », pas un bruit. Il continua à dévaler l'escalier.

Arriver à la fin des marches un autre bruit se fit entendre mais celui-ci était plus fort. Il ressemblait à une porte qui claque très fort, prit de panique Carolie remonta l'escalier. En haut, il suait comme un porc et respirait si fort qu'elle résonnait dans la pièce. Avec sa grosse main poilue il tira la poignée mais sans aucun changement. Il tapa sur la porte en hurlant « Aidez-moi je suis bloqué ! A l'aide ! », personne ne vient à son secourt. Il essaya de calmer sa respiration et il chercha une autre sortie. En bas de ces affreux escaliers, un long couloir avec à son bout une porte entre-ouverte avec de la lumière qui lui échappé. Surpris, Carolie avança vers la lumière. Les goûtes de sueur roulaient sur son front dégarni, il passa sa main dessus et l'essuya sur sa veste. Se voyant transpirant et essouffler il repensa à sa jeunesse, avant il pouvait parcourir des kilomètres sans jamais être à bout de souffle. Il avait gagné plusieurs concour adolescent, le sport l'aider à relâcher la pression des études, à vingt ans après avoir étudier pendant deux ans médecine, il a été otage d'un cambriolage. Ce jour-là c'était la première fois qui s'était senti aussi impuissant, des personnes étaient tué devant lui mais il ne pouvait rien faire ou sinon se serait lui qui nagerait dans une mare de sang. A ce moment précis il a décidé qu'il ne ressentira plus jamais ça alors deux semaines après avoir était libéré il est allé s'engager à la police pour pouvoir sauver des personnes effrayer comme il la était. Lors de son apprentissage il a toujours voulu être le meilleur, les nuits il étudiait tous les livres qu'on leur avait donner à l'académie, il s'entraînait tous les week-ends sans jamais aucune pause. Le jour de son concours il était prêt à tout ce qui pouvait lui arriver. Il réussissait toutes les épreuves mais arriva la seule chose qu'il ne pouvait pas étudier et y parvenir grâce à son physique, c'était le tire. Il n'avait, durant tous les cours, jamais réussis à être le meilleur. A chaque fois qu'il devait tirer il repensait à ce jour enfermée dans cette banque, ses mains commençaient à trembler et à devenir moite, l'arme glisser et quand il tiré la balle tomber à côté de la cible. Mais le jour de l'épreuve, par il ne sait quel moyen, il se calma il tira deux balles au plein milieu de la première cible, remplit d'une grande joie il mit une balle au milieu de chaque cible sans jamais en rater une.

Après quelques minutes il arriva devant la porte, il passa sa tête dans l'entrebâillement, il n'y avait personne. Sans faire plus de bruit qui l'en fait déjà il ouvrit la porte et rentra dans une salle qui devait sûrement être les vestiaires des employer, il regarda partout pour vérifier si personne ne se cacher.

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⏰ Last updated: Mar 20, 2019 ⏰

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