la lettre

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Dans son bureau, Law se sent impuissant. Le temps que le polar tang rattrape le bâtiment de la marine, il décide de lire la lettre qui lui est adressée.

Cher Law,

Où devrais je t'apeller capitaine, frère ? Je ne sais plus bien où nous en sommes. Tu dois m'en vouloir d'être partie mais j'y ai vu une opportunité : là où je vais je ne ferai plus de mal à personne et je payerai pour tout les crimes du passé. Pour tout mes crimes !
Mais ce n'est pas ça que je veux parler. Je veux d'abord m'excuser d'être arrivé sur ta route. Je t'ai apporté malheur et autres chose sombre. Je m'excuse également de te faire encore du mal maintenant. Et surtout, je te remercie de m'avoir offert une vie. Tout à toujours été si sombre autour de nous. Je faisais comme si nous baignons dans la lumière contrairement à toi qui avait accepté la réalité. J'envie ta force, ton courage et ton intelligence. Je regrette de ne pas t'avoir suivie plus tôt et de te causer tant de soucis. Je crois que je dois aussi m'excuser de mon comportement. Je ne suis pas facile et j'en suis consciente. En y réfléchissant bien, j'ai dû t'en montré des verte et des plus mûr. Tu as le droit de m'en vouloir et de me détester.
Il y longtemps, deux enfants se rencontre sur une île semblable à une décharge. Ils vont être élevé par les mêmes personnes et pourtant ; l'un va choisir de se plonger dans l'obscurité la plus grande alors qu'il à un cœur d'or et une âme lumineuse, l'autre ira toujours ver la lumière malgré qui soi enchaîné aux ténèbres. Les deux resteront ensemble car un lien s'était tissé entre eux.
Nous sommes ces deux enfants.
Nous sommes le jour et la nuit.
Nous sommes un paradoxe.
Nous sommes liés.
Des opposés qui ne vont pas l'un sans l'autre. Et pourtant aujourd'hui je te le demande: Déteste moi! Oubli moi! Ne me sauve pas!
En devant capitaine du Polar tang, tu as retrouvé une étincelle qui avait disparus. Tu sais cette étincelle qui brillé dans tes yeux quand nous étions que trois, quand nous étions une famille. Je me souviens l'avoir vu disparaître. Aujourd'hui elle de nouveau présente mais trop fragile. Je pourrais l'éteindre avec le souffle d'une simple erreur. Je refuse de la faire disparaitre ! Pour la conserver, je dois m'éloigner.

Continue d'avancer !
Adieu.

Son poing tape sur la table. Jamais il n'avait ressenti ça. Un mélange de tristesse, d'incompréhension et de rage. On lui a enlevé sa famille ! Il ne peut aller plus loin sans elle.
Pendant ce temps, en pleine mer, Garp propose une dernière faveur a Dana en souvenir de ses années de bon et loyaux services.

Garp: Alors que veux tu ?
Dana : Un dernier appel, c'est tout ce que je souhaite. Je dois m'excuser au près d'une personne puisqu'aujourd'hui je sais que nos chemins ne se croiseront plus.
Garp : Accordé mais j'écoute cet appelle pour m'assurer que tu n'indique pas notre position ou autre.
Dana : J'accepte cette condition.

L'appel est lancée. Quelques part sur un bateau en plein océan, une personne décroche. Le "allô" que tout le monde dit dans cette situation se fait d'une voix que Dana connais très bien mais que Garp aussi à déjà entendu.

Dana : Salut Luffy, comment vas-tu ?
Luffy : Dana! Quand est-ce que tu rejoint mon équipage ?

Cette question fait surgir une vague de chagrin. Dana ravale un sanglots et souri bêtement comme si son ami pouvait la voir.

Dana: Pas maintenant. Dis moi, tu peux me passer Zoro s'il te plaît.
Luffy : Tout de suite. Zoro! Dana a l'escargot-phone pour toi.

Le Sabreur et La Louve (en corection)Où les histoires vivent. Découvrez maintenant