13.

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Je me sent pas bien , j'ai perdue quand même assez de sang et j'ai la tête qui tourne. Cela fais longtemps que je n'ai pas manger...
En regardant la grille et le ciel étoilé je reflechis... Et bordel... Ce que Lili m manque... Ses boucles blondes qui faisait vivre mon coeur malgré toute ma rancoeur. Je regrette cette époque où tout allais bien. Tout allais si bien.
Puis j'étais Allya qui criais , j'avais peur , les cris se rapprochait...
Avant ses cris , aucune nuit de ma vie avait été aussi calme... Je ne sais pas qu'elle heure il étais mais j'avais faim , j'étais affamé je commençais à avoir beaucoup de brûlure.
Puis je vis Allya dégringoler et il referma la cellule une nouvelle fois. Une nouvelle fois encore ou ma liberté s'envola...
- Je t'avais dis de rien dire !... Qu'elle cria en pleure.
- Je... Je suis désolée mais c'est plus fort que moi je peux pas rester sans rien faire.
- Oh putain il m'a pas louper se salopard la !... Criait-elle , tu m'entends connard !!!? ... Putain il est partie... Camille j'espère que tu sais tenir ta faim car la on est partie pour pas manger pendant longtemps...
- Comment sa ? Demandais-je
- La dernière fois j'ai faillie y laisser ma peau, ils nous donne à peine à manger , ils viennent pas nous voir ... A pars pour nous violer... Toi aussi?
- Oui...
- Je suis désolée... Je t'avais dis de m'écouter... Me disa telle tristement, tu as pas eu trop mal...?
- Ce n'étais pas la première fois que je subis un viol. Ce n'est rien. Disais- je
Et la je me retourne et ferma les yeux. Pour la première fois depuis bien longtemps je pleurais.
                         *  *  *
Je me suis réveillée en panique , j'avais peur , je voyais Lili comme une morte vivante , elle courue puis se stoppa à 2 centimètre de mon visage , son souffle dans mon visage , ces yeux ... Ce regard perdue qu'elle avait... Et la elle me pris dans les bras et le poignarda.
Je n'ai toujours pas compris pourquoi je pense, je rêve à des choses si horrible et bon sang , ce que j'avais mal ... Ce cauchemar n'étais pas près de s'arrêter et c'étais bien pire de jour en jour. Je me sentais mal , je me sentais mourir.
Je pourrissais de l'intérieur , j'avais faim , j'étais au bord de la famine ... J'aurais donner n'importe quoi pour une tranche de pain...
Je vis le soleil se lever , il éclairait tout mon visage puis je vis la grille se soulever , je réveille Allya en la secouant en me disant... :
- Oh mon dieu pas encore...

Ne dis rien a maman Où les histoires vivent. Découvrez maintenant