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-petite salope, tu aimes bien te faire prendre hein !

Je ne cessais de pleurer alors qu' il continuait avec ses va et vient. Je me sentais détruit intérieurement et extérieurement.Cet homme est sans scrupule.

Ça fait à peu près deux ans qu' il a tué mes parents mais personne ne le savait,  pour eux j'étais l'oméga le plus chanceux, pourtant c'était tout le contraire.
Je reviens à la réalité lorsqu'il toucha ma prostate de plus en plus fortement.

Que j'avais mal putain, mais je ne dois pas lui donner ce plaisir. Jusqu'à quand les omégas ne seront-ils plus considérés comme de simples vide couilles.
Après avoir joui en moi il s'en allla me laissant là dans mes réflexion. J'y vais pour prendre un bain,  c'était devenu le seul lieu où je pouvais être moi-même.

Pour vous éclairer laissez-moi vous racontez l'histoire
*
Ma famille et moi étions vraiment heureux et le monsieur s'appelle Georges c'était un ami à mes parents. Un jour pendant que je rentrais de l'école je l'ai trouvé accroupi, arme à la main, devant le corps inerte de mes parents. Il m'a dit que ce n'était pas de sa faute qu'il a fait ça pour moi parce qu'il m'aime. Je me rappelle avoir pleuré puis je l'ai insulté et c'est là que tout a dérapé. Il m'avait agrippé les cheveux, m'a jeté au sol. Je l'ai vu enlever mes vêtements puis me pénétrer d'un seul coup j'ai hurlé espérant l'aide de quelqu'un mais à mon grand désespoir, il n' y avait  personne. Ce connard m'avait pris ma première fois. Sans aucune honte, il m'avait violé dans le salon devant les cadavres de mes parents.

Maintenant j'habite chez lui avec son fils, Édouard, qui m'a fait passé pour son petit ami question d'avoir un peu de droit sur moi. Je ne lui en remercierait jamais. lorsqu'il était revenu de l'étranger , il a su et m'a beaucoup aidé. Il voulait qu'on soit plus qu'ami mais j'ai refusé car  j'avais  qu'un  seul but : venger mes parents. Georges allait payer pour tout ce qu'il m' a fait subir.
*
Malgré l'aide d'Edouard , ce connard me touchait régulièrement.
Je ne pouvais rien dire alors je me taisais.

Ne dit-on pas que la vengeance est un plat qui se
mange froid !

Trahison Où les histoires vivent. Découvrez maintenant