7. libération sanglante

198 16 0
                                    

Le lendemain je ne peux même pas me lever, Jimin et Bambam font semblant de ne pas pouvoir eux aussi. Ils nous laissent dans la cellule, je ne me sens pas très bien depuis que je me suis réveillé

- Kookie?

- hm

- tu es rouge ça va?

- ça va passer

- ne dis pas n'importe quoi tu es brûlant

- hey!... y a quelqu'un?

- quoi?

- il ne va pas bien du tout

- il nous fait chier celui là

- butes moi... et ce sera... réglé alors

- hein?

- ne me tente pas

- pourquoi?... ah oui c'est vrai... ton chef est en kiff sur moi

- gh!

- *halète* je...

- va chercher Tae

- Kookie?

J'ai chaud, j'ai mal

- il est brûlant

- il a mal à la cheville

- elle n'est pas en bonne état

- hm

J'ouvre les yeux

- vous faites... quoi?

- je te mets une attelle pour ta cheville

- ne me touche pas ou je te bute

- dans ton état tu ne pourras rien faire

- c'est ce que tu crois

- écoute je n'ai pas envie que vous mouriez je te soigne et c'est tout

- laisse moi crever tu auras un soucis en moins

- *rire* ce n'est pas mon genre

- dégage ton aiguille

Les gardes m'allongent de force, je n'ai aucune force, cet enfoiré m'inject un truc et je m'endors un moment, je suis réveillé par des cris

- non laisse le il...

- la ferme je fais ce que je veux

Ma vue vacille mais je reconnais leur chef s'approcher de moi et me porter à l'extérieur, je ferme les yeux, on doit être en fin d'après midi vue ou le soleil est placé

- réveille toi le rebel

- ...

- hey debout!

- hm

- enfin

J'ouvre difficilement les yeux, il est au dessus de moi, par surprise mais aussi réflexe j'essaye de le repousser et le frapper mais il me prend le bras et me retourne sous lui

- tu es faible mon pauvre

- gh

Il remonte mon bras violemment dans mon dos, j'ai mal partout, je ne peux plus bouger

- quand est ce que tu vas comprendre que tu as ma chose et que tu ne fais pas le poid

- c'est toi le faible enfoiré

- vraiment?

Il me met nu entièrement cette fois, il déchire les vêtements avec son couteaux de chasses avant de me retourner et de le mettre sous ma gorge

obscureOù les histoires vivent. Découvrez maintenant