Ton corps frôle le mien sur plusieurs petits centimètres qui sont, pour moi, les frontières de nos mondes. Mon cœur ne bat que pour satisfaire ta soif de feu qui domine nos liens perdus. Nos âmes s'appellent comme le noir de nos vies appelle le blanc de notre marbre.

Nous sommes juste des corps enchevêtrés par morceaux qui hurlent la brûlure de mes froideurs asséchées par ta beauté.

embras(s)e moi Où les histoires vivent. Découvrez maintenant