OS Emmanuel Macron / Brune Poirson - Une fête nationale inoubliable

Une fête nationale inoubliable

Le président était dans sa chambre en train de se préparer pour la cérémonie du 14 juillet. Il était de plus en plus nerveux car c'est aujourd'hui qu'il va annoncer sa relation avec la femme de sa vie, la secrétaire d'État de l'écologie Brune Poirson. Cela faisait six mois qu'il vivait un pur bonheur à ses côtés et ils avaient décidé elle et lui, ensemble, il y a quelques jours, qu'Emmanuel annoncerait à la fin de l'interview télévisée du soir leur relation.

Il lui avait avoué les sentiments qu'il tenait à son égard lors d'une soirée banale qu'ils aimaient passés dans le bureau du président. Des soirées qui finissaient endormis l'un contre l'autre et ils se réveillaient très gênés d'être l'un contre l'autre. Lors de ses soirées, plusieurs fois il avait eu l'envie de l'embrasser mais à chaque fois il avait manqué de courage, à part ce soir-là où il c'était enfin lancé.

// Flashback //

Il était dans son bureau en mode décrontacté. Ses manches de la chemise étaient remontées jusqu'en haut de ses avant-bras, sa veste de costume et sa cravate étaient posées sur l'une des chaises en face de son bureau, et un crayon dans la bouche. Il essayait de se concentrer mais il n'y arrivait pas. Il avait encore et toujours dans sa tête Brune Poirson , dont il était éperdument amoureux depuis des semaines. Constamment il pensait à elle , n'importe où et à n'importe quel moment. La porte s'ouvrit ce qui le fit sortir de sa rêverie. Et Brune Poirson rentre dans son bureau avec des sacs pour manger.

" J'espère que je ne te dérange pas , comme je me dis que tu n'as pas encore mangé et bien je t'ai apporté ce que tu aimes beaucoup grâce à moi, des sushis" dit-elle avec un grand sourire, alors qu'elle pose son sac et son manteau sur la chaise ou était posé la veste et la cravate du chef de l'État et le sac des sushis sur la table au milieu du bureau.

" Vas-y fais comme chez toi " dit le président en rigolant alors qu'il l'a bouffer complètement du regard.

" Désolée si je te dérange " dit-elle très gênée mais aussi en le regardant et le dévorant complètement du regard.

Elle était folle amoureuse de lui depuis qu'elle l'a vue la première fois dans son bureau présidentiel, lorsqu'elle était encore que candidate au poste. Dès le premier regard elle a senti qu'il se passait quelque chose entre eux. Mais par manque de courage elle ne lui a jamais avoué ce qu'elle ressentait.

" Je rigolais Brune. Jamais tu me déranges et tu me derangeras jamais " dit-il avec un petit sourire et en ne la lâchant pas du regard. Il s'approcha d'elle et l'embrassa sur le coin des lèvres avant de s'éloigner d'elle. Brune resta stoïque pendant plusieurs secondes. Les lèvres d'Emmanuel près des siennes l'a complètement retournée.

" Brune ça va ? " demanda le président tout sourire et très content de l'effet qu'il fait à Brune. Au fond, il savait très bien qu'il plaisait à Brune.

" Oh arrête. C'est ta faute " dit-elle avec un petit sourire et en s'approchant de la table.

" Qu'est que j'ai fait ? " dit-il en se retenant pour ne pas rire.

" Tu m'as embrasser sur le coin des lèvres et tu sais très bien que ça m'a fait quelque chose " dit-elle très sérieuse.

" Non je ne sais pas Brune. Tu ne dis jamais ce que tu ressens pour moi " dit un président cette fois-ci très sérieux, les mains dans les poches.

Brune ne savait plus quoi dire car elle sentait très bien qu'elle allait devoir lui dire ce qu'elle ressentait pour lui.

Emmanuel respira un grand coup et s'approcha d'elle. Il sentait que c'était le bon moment pour lui dire qu'il l'aimait éperdument depuis des semaines.