Return's {Tokyo Ghoul: re}

Chapitre 3

Précédemment

  Je n'ai tout de même pas était admise ici pour faire dans le sentiment avec ces abominations.
***************************************************

*Le lendemain*

PDV Kaeko

Je me réveillais doucement de cette nuit quelque peux mouvementée puis je partis effectuée ma routine quotidienne: m'habiller, me coiffer les cheveux en un chignon, prendre mon petit déjeuner mais cette fois ci ma routine sera constituée de prendre mes affaires pour aller au CCG et avant d'avoir fermer la porte de chez moi je pris des barres de chocolats et un muffin a la framboise au cas où j'aurais faim dans la journée.

Je fis le trajet en écoutant une musique qui parle beaucoup d'elle et que j'aime énormément, mais ce plaisir fut de courte durée quand j'arrivais devant l'immense bâtiment, prête à battre des goules quel qu'il soit. Je franchis la porte et une chose se jeta sur moi la seconde d'après, je sentis une odeur de bonbon à la fraise presque envoutante.

- C'est bon Jûzo tu peux te lever ?! Dis-je en rigolant.

- Mais euh ! Comment tu as sût que c'était moi ? Me demandât-il tout en m'aidant à me relever.

- Et bien, tu es le seul que j'ai vus mangé des bonbons hier alors ça m'as parût logique que toi seul pouvait porter une odeur pareil. Je lui souris après avoir fais mon explication.

Nous nous dirigeâmes ensuite jusqu'à la salle de repos ou j'avais fais la connaissance de mon superviseur, de Jûzo ainsi que de ce monstre que je dois dès à présent appeler mon coéquipier. Non mais quel honte d'avoir fait devenir une goule, un inspecteur ! Bref, je me retournais vers Jûzo qui m'observais étrangement.

- Quoi ? Demandais-je

- A quoi pense-tu Kaeko ? Répondit-il

- Je pensais à Takisawha. A voir sa tête ma réponse le surpris jusqu'à que je comprenne son arrière pensé. Ah.....non pas dans ce sens Jûzo, je me demandais juste pourquoi le CCG a décider de le prendre au lieu de le tuer comme n'importe quel Goule.

- Ah d'accord, désolé d'avoir pensé de cette manière...Il me sourit un peux gêner de sa bêtise mais je lui fis signe que ce n'était rien.

Les deux inspecteurs continuèrent leur chemin mais ils ne se rendirent pas compte que quelqu'un les observait de loin. Quelques minutes après, Kaeko et Jûzo arrivèrent et vire chacun leur mentor avec un dossier en main, ce qui les intriguaient encore plus. Kaeko put lire sur l'avant des dossier un mot de marqué, "Le Fantôme" pour le dossier que tenait Hoji et "L'Inconnue"  pour le dossier qu'avait Shinohara. La jeune inspectrice était concentré lorsque la porte s'ouvrit sur la goule qui semblais fatigué ce qui n'échappa point à Kaeko puis la créature s'affala sur le canapé de la salle.

- Bon, puisque tout le monde est là.... Commençais à dire Hoji quand Kaeko intervint

- Où est Akira, M. Hoji ?

-  Elle est déjà sur une affaire de goule. Bon je disais que comme tout le monde est là on vas pouvoir vous remettre vos enquêtes. Suzuya, tu te chargeras de "L'Inconnue".  Annonça Shinohara à son subordonné.

- Très bien, je voulais tellement m'occuper de cette affaire. Il prit le dossier sans plus attendre et se mit à l'étudier.

- Kaeko et Seido, vous vous occuperez du "Fantôme". Finissait Hoji

PDV Kaeko

Je m'approchais pour prendre le dossier quand il se volatilisa devant moi, je tournai la tête dans tout les sens pour voir où il pouvait être puis je le vis soudainement dans les mains de la goule

- EH ! J'allais le prendre si ça te fais rien. Râlais-je après lui. Il me jeta un regard puis sourit d'une façon effrayante ce qui me fis trembler de terreur.

- Oh....Il s'approchait de moi d'une t-elle façon qu'il me terrifiait encore plus ainsi que le regard qu'il m'avait fait il y a quelques minutes. Aurais-tu peur de moi ? Hihihi, la jeune Kaeko, tremblante face à la goule devenue faible depuis qu'elle a perdue son statut de Chouette Borgne....

- Je...je n'ai pas peur, je suis juste fatiguée donc je tremble facilement... Je me mis a reculer pour rester éloigner de lui, je tournais la tête pour vérifier que je ne heurter rien ni personne mais quand je voulue de nouveau faire face à mon coéquipier, il était désormais qu'a quelques centimètre de mon visage.

- Je sens ta peur Kaeko, tu es terrifié et ça me donne faim.... Me dit-il d'air fou avec ce même sourire horrifique.

Il avais raison j'étais terrorisée devant lui, je voulais échappée à cette frayeur quand quelqu'un s'interposa entre moi et Seido, je reconnue la chemise noir et les bretelle rouge et jaune de Jûzo ainsi que son odeur de bonbon.

- Laisse-la, sale Goule ! Dit Jûzo menaçant

Je pus voir Takisawha perdre son sourire et arboré désormais un regard haineux, mais aussi un sentiment que je n'avais encore jamais vus chez une goule: de la jalousie on dirait, après cette confrontation, Jûzo se mit à m'observait soucieux et des larmes perlèrent le long de mes joues. Il passa sa main afin d'essuyer l'eau coulant sur mon visage, sans réfléchir je l'enlaçais et lui murmura tout doucement

- Merci Jûzo... Il resserra son étreinte sur moi et me caressa tendrement les cheveux

- De rien Kaeko.   

PDV Seido

Pourquoi il faut toujours que ce morveux se mette en travers de mon chemin ! Je jure que si j'ai l'opportunité, je le tuerai pour en faire mon casse-croute ! 

Toute fois je me perdais dans mon esprit quand je repensé à Kaeko, je ne croyais pas que je l'effraierais au point qu'elle pleure. Je suis à la fois déçu et dégouté de ce que je viens de faire, comment je vais faire pour gagner son amitié si je lui fait peur. Kaeko se dirigeait vers la sortie de la salle avec le dossier en main mais je vis qui lui manquer la chose essentiel en tant qu'inspecteur du CCG, je la suivis donc pour la rattrapée.

- Kaeko. Appelais-je. Elle se tourna vers moi apeurée , les joues encore humidifiés. Suis-moi, il te manque un élément. Elle me suivit donc sans un mot et sans un regard.

Nous marchions jusqu'au laboratoire de fabrication des quinques dans le silence le plus total. Je me sentais plutôt mal de l'avoir fait pleurer mais je me sens encore plus mal que se soit pas moi qui l'ai calmé, je sentis ensuite un regard pesant sur moi.

- Tu as toujours étais comme ça ?  Me demanda-t-elle