Le réveil [Merthur]

Le réveil

    Bonjour, bonsoir, mesdames, messieurs et mesautres. Je vous présente un petit OS Merthur sans prétention, pleins d'amour, de drama, de fluff et d'humour j'espère. Sur ce, je vous laisse avec mes écrits. Bonne lecture (*u*)

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   Merlin s'introduit dans la chambre du prince de la façon la plus discrète possible. Le matin d'avant, Arthur lui avait reproché ses réveils trop brusques. Alors, le sorcier décida de lui faire plaisir, en le réveillant de la plus douce des manières.

   Il posa le plateau du petit déjeuner sur la table. Puis, pris une petite boîte qu'il avait placée dans sa besace, et la posa également sur le meuble à quatre pattes. Il l'ouvrit pour prendre la chose qu'elle contenait, avant de s'approcher du lit princier. Il la posa soigneusement sur le torse d'Arthur pour ne pas le réveiller, et s'éloigna.

   Tout était près, il ne manquait plus que la dernière étape : réveiller le prince «  gentiment ». Merlin posa son beau fessier sur le bord de la table : «  Arthur, l'appela-t-il d'une voix douce, Arthur, il est l'heure de se lever.  ». Cela n'avait aucun effet, alors il haussa la voix : «  Arthur, Arthur, debout.  ». Ce dernier ouvrit les yeux, les frotta, puis les referma. Or, une expression de semi-réalisation apparu rapidement sur son visage : il y avait quelque chose d'étrange sur son torse. Il rouvrit les yeux : "  Aaaaah ! Cria-t-il en faisant de grands gestes, dont un qui emmena la créature au loin.

- Pourquoi criez-vous mon prince ? Demanda Merlin, un sourire en coin.

- ...C'est toi, j'en suis sûr. Dit le prince après s'être calmé.

- Quoi donc ? Demanda-t-il avec un air faussement innocent.

- C'est toi qui as mis cette chose sur moi.

- Nooon.

- Bien sûr, je vais te croire.

- Que voulez-vous ? C'est vous qui m'avez dit que mes réveils étaient trop brusques.

- Je ne vois pas le rapport. Tu as vraiment un problème mental ma parole !

- Je pense aussi, sire.

- Tu te fiches de moi là ?

- Oui. Dit-il avec un air malicieux.  "

Arthur inspira profondément pour se calmer : "  Arrêtes donc ! Maintenant sors ce monstre de ma chambre et prépare mes habits.

- Bien sûr, votre altesse, dit-il avant de s'atteler à ses taches en rigolant.

- Arrêtes de rire, Merlin !

- Cela a mieux marché que ce que je pensais. Dit-il en fermant la porte.

- Tu n'en parles à personne.

- Je ne dirai à personne que le majestueux prince de Camelot est apeuré à la vue d'un petit animal tout mignon. Dit-il en faisant des gestes théâtraux.

- Je t'ai dit d'arrêter de te rire de moi...Et es-tu sérieux, une araignée : une créature mignonne ? Demanda-t-il avec un air dégoutté.

- Bah oui, celle-ci était d'ailleurs très mignonne.

- Horrible, tu veux dire.

- ...Pourquoi en avez-vous si peur ?

- Mauvaise expérience. Dit-il en sortant du lit pour aller s'assoir à table.

- C'est-à-dire ?