Break the glass

chapitre 1

- quel est votre nom?

-smile

-vraiment? dit-elle en s'étouffant avec son café de rire. Qu'avait-il de si drôle? wagi était son nom. Wagi, depuis sa tendre enfance, avait les dents coller en un énorme sourire. Ses cheveux minces et son apparence de clown lui avait donné ce surnom, dont tout le monde parlait ces temps-ci. Smile à encore frapper, disais la population, effrayer. L'homme au cœur d'humain, mais dure comme de la pierre. Sa peau geler comme de mince écaille, comme une poupée en porcelaine, échapper, que l'on avait essayé de recoller les morceaux. Wagi était un homme triste et seul. Personne ne l'aimait du a son apparence. Personne n'avait jamais su l'aimer. Les sentiments qu'il avait éprouvés autrefois, n'Était qu'un vague souvenir. Il essais de refouler le meme sentiment d'amour qu'il éprouve. Il se rappela alors à ce moment-là le doux visage de la belle Mathilde, une fille aussi seule que lui, mais avec plein d'amies. Elle paraissait heureuse à première vue, mais lorsque wagi l'avait aperçu pleurer seule dans son coin, il sut qu'elle était extrêmement malheureuse. A ce moment-là, tout ce qu'il aurait voulu, aurait été de lui donner une énorme étreinte pour la réconforter. Mais il ne pouvait pas, parce qu'il était répugnant et craignait que la belle Mathilde ait peur de lui. C'était la première fois qu'il avait réellement le cœur briser, le premier sentiment qu'il avait ressenti. Wagi était-il condamné à aimer une seule personne pour le restant de ses jours?

-smile? L'interrogatoire va commencer. Tu peux suivre les policiers. Ils te mèneront à une salle. C'était la première fois en une longue période d'année qu'il avait eu une vraie conversation avec quelqu'un. Meme dans les circonstances comme celle-ci, il était content. Les seuls sons des voix que wagi entendait, était celui de ceux qui se moquait de lui, et ses victimes qui le suppliait de les épargner. Wagi était un homme inventif. Il trouvait toujours un moyen d'attirer ses anciens collègues, que ce soit ceux du travail, du collège, ou de l'école primaire, il savait exactement se qui allait les faire flancher, ou leur donner espoir et quelque seconde plus tard leur enlever la vie. Il savait que sil s'excusait pour tout ce qu'il avait fait, sa leur donnerais espoir, comme eu l'avait fait. Mais ''smile'' avait pas encore terminer sa revanche. Il n'Était qua ses débuts quand des agents de sécurité l'avait arrêté, et menotter. Il était maintenant condamné à passer le reste de sa vie dans sa cabine. Lorsque wagi entra dans la salle, on l'accueilli avec un vers d'eau posé sur la table. C'était la première fois que quelqu'un lui offrait quelque chose, meme si c'était qu'un simple vers d'eau. L'agent sorti une trentaine de dossier et les ouvrit sur la table, et bientôt, le reste était étendue par terre.

-c'est vous qui avez fait ça? Dit-il, meme sil savait clairement que c'était wagi le responsable.

-peut-être, avait-il répondu avec son éternelle sourire.

4 ans plus tôt.

Wagi était un homme de classe moyenne, avait encore des cheveux épais et brun foncé et un poids normal pour son âge. Wagi semblait toujours heureux, meme quand il pleurait. Personne ne le prenait jamais au sérieux. On avait meme essayer de l'engager comme clown au cirque, mais refusa, pour ne pas faire partie de la foire d'animaux. Durant les 7 dernières années, wagi avait vu un nombre incalculable de dentiste, qui ne trouvèrent aucune solution à son probleme. Les plus stupides tentèrent de cier sa bouche, qui lui donna d'affreuse cicatrice sur le coter de ses lèvres, et les plus minutieux tentèrent de gratter jusqu'à ce que les dents se séparent. Aucune de ses tentatives furent un franc succès. Ce soir-là, wagi commit son premier meurtre, le 12 janvier 1998. Personne ne sait réellement ce qui s'est passé ce soir-là. Était-ce de la fatigue, ou de la négligence? Meme wagi, le seul souvenir qu'il se rappelle ce soir-là, c'est celui lorsqu'il était au bar, muni de son tube et son sac de plastique, rempli d'alcool. Wagi Johnson avait bien l'intention de se faire perdre la tête ce soir-là. Le tube encastrer dans sa gorge, celui-ci ne remarqua pas que le liquide se vidait a vu d'œil. Il s'attendait à ce que ce sois plus lent. Ce ne fut pas long qu'il vit entrer dans le bar les garçons de son école. Wagi avait redoubler. Une seule fois. A 18 ans, il était en secondaire 5.

- 7 scotchs pour moi et mes amis.

Wagi, étant de bon foie, lança au barman qu'ils n'étaient pas majeurs, et en conséquent de ne pas leurs donner les boissons demander. L'étiquette du serveur démontrait son nom : Félix. Comme celui de son père, qui, 18 ans plus tôt, l'avait abandonné dans les bras de sa mère, à l'hôpital, s'enfuyant les jambes au cou. Félix demanda une carte d'identification aux sept jeunes hommes, qui sortirent des cartes, visiblement fausses, mais l'homme a l'étiquette ne fit rien, et leur donna les boissons qu'ils espéraient tant.

30 minutes plus tard.

Johnson avait fini sa boisson, jeta le sac a la poubelle, et rangea son tube dans ses poches. Il sortit du bar, suivit de Carl, le chef de la bande d'immature, sans ses amis, qui, par peur, était rester en dedans du bar, en attendant vivement le retour de Carl, les mains salit.

- Johnson! Attends-moi! Dit-il avec son sourire en coin.

- Je n'ai pas le temps de te parler. A lundi. Cria wagi en marchand a toute vitesse. Pourtant, a cause de la pluie, wagi ne perçu pas les pas de Carl, qui était maintenant juste derrière lui. Soudain, Carl lui empoigna les cheveux, et cria à son tour les dents coller :

- Je t'ai dit de ne pas ten aller!

Les deux étaient visiblement souls. Le lendemain matin, wagi se réveilla avec un mal de chien. Ses yeux s'ouvrir tranquillement. Il se leva, enfila sa robe de chambre en se demandant ce qui était arriver la veille. Mais wagi ne s'attendait pas à trouver dans sa cuisine en voulant cuire une omelette dans le four la tête de Carl, démunie de son corps, dans un plateau contenant ses mains et ses pieds. Wagi échappa son mélange par terre :

La veille, il avait tué Carl, et voulu le manger, surement pour cacher les preuves. Ou sinon, peut-être meme juste parce qu'Il en avait envie.

Pour la première fois, le 12 janvier 1998, wagi avait enlever la vie a un jeune homme. Un jeune homme surement plein de rêve et d'ambition, et une famille qui appris la disparition d'un proche, laissant celle-ci dans le désespoir et la peine. 3 mois plus tard, sa mère mourra de chagrin. Une belle femme, la peau blanche comme la neige et les yeux foncer comme l'océan. Une femme pleine de vie et plein d'espoir de retrouver son fils bien aimer, son seul et unique enfant, d'ailleurs. Elle n'avait pas de mari, celui-ci mort de noyade lors d'un incident tragique en mer seulement deux ans apres leur mariage, du quelle elle avait tout abandonné pour lui. Sa famille, ses amies, tout. Sandrine, elle fut appelée. Cette famille fut donc une tragédie, dont le fils, Carl, dont la mère, Sandrine, et dont le père, Nicolet, ne furent pas épargner. Trop jeune disait ton la première semaine pour mourir. La deuxième, les gens commencèrent à leur reprocher toutes sortes de choses. La troisième, on les haïssait, à la fin du mois, tout le monde furent heureux de leur mort. Et finalement la dernière semaine, cette famille fut une tragédie, et un vague souvenir.

Revenons à wagi. Comment se sentait-il? Il était, différent. Il passa de longue semaine à moisir sous un pont, à se demander pourquoi ça, pourquoi lui. Il demandait à dieu son aide, mais celui-ci ne lui fit aucun signe. '' pourquoi moi ?! '' répétait -il sans cesse. '' qu'ai-je fait pour mériter cela ?! '' les larmes lui coulant sur le long des joues.

On ne s'attardera pas plus longtemps sur cette nuit-là. Puisque 1 ans plus tard, il commit son deuxième meurtre.

Etoui, plusieurs d'entre vous penserons : mais pourquoi? Meme moi, celle qui raconte cette histoire, j'en ai aucune idee. Quelqu'un pourrait dire que ça coule dans ses veines, et d'autre dirais que ce n'était qu'un malentendu. Un malentendu qui tourna aux cauchemars, certes.