Chapitre 10: Le vide

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Quel vie de merde ! Pensais-je essayant d'allumer ma cigarette systématiquement éteinte par le vent. Mes yeux deviennent humide, et ma tête s'enfouit dans mon cou.

- PUTAIN, MERDE ! Criais-je au ciel.

Mes larmes redoublèrent et je sanglota bruyamment. Je voulais arrêter mais je n'y arrivais pas... Je n'y arrivais plus. J'aimerais fermer les yeux et ne jamais les rouvrir... , si vous saviez combien de gens ont dit ça. Combien l'ont pensé, vraiment très bien souhaité. Et après avoir trouvé ça affreusement triste, je me suis peu à peu rendu compte à quel point cela pouvait être magistralement beau. Parce qu'on continue de se lever, on continue de se battre malgré tout. On continue de sourire, d'affronter nos peines, la solitude, le vide.

Mais bon...voilà j'étais beaucoup trop faible. J'avais cessé de croire que le jour où je me sentirais enfin vivant, où je rirais sincèrement, exister bel et bien...

Pourquoi me trouvais-je là, sur se pont ou tout a commencer... ? Je regardais le vide, je monta alors sur la barrière en fixant toujours ce vide interminable, j'imaginais ma tête se fracasser contre l'une des pierres en bas, j'imaginais les larmes partir de mes yeux pour aller sur mes joues pendant que je chuterais, j'imaginais ma dernière phrase.

"Je n'ai pas connu l'amour et je le connaîtrais surement jamais, alors...Merci a tout ce qui on essayer...Essayer de me le faire ressentir..."

Et je parti, du pont pour continuer ma balade en solitaire pour aller sur le mont le plus proche et m'entraîner sur mes alters ! En faites faut que je vous les "présente" ! J'en ris quand je vais voir les têtes de toute les personnes qui vont les voir !

C'est bizarre, quand je retrace ma route pour en arriver la... Ça fait long ! Je suis parti d'un élève pleurnichard petit et nul, à un militaire/prof, grand, puissant ! Je commençai inconsciemment à courir vers chez moi, j'escaladai la façade et passai par la fenêtre pour atterrir dans ma chambre d'enfant. Je la regardai, et me dirigeai vers mon armoire, que j'ouvris pour prendre un sac. Je sortis par où j'étais rentré et ouvris le sac. 

- C'est bon...Il y a tout, je levas ensuite la tête vers l'horizon et sourit hautain.

Je continua ma route vers UA, je déactivas toutes les caméras de surveillance et passa vers les murs extérieurs pour voir et toucher leurs surfasse (NDA : Sale murophile !!!!). Quand j'en trouva un assez bien, j'ouvris mon sac et en sortie des bombes de peintures, sans avoir oublier mes chère marqueurs.

Quelques heures plus tard le bahut ce retrouva entièrement couvert de ce genre de marque :

(NDA : Imaginer avec de la couleurs et autres, c'est moi qui l'est fais, droit d'auteur !)

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(NDA : Imaginer avec de la couleurs et autres, c'est moi qui l'est fais, droit d'auteur !)

Je partis après avoir fini, chez les Bakugous qui ne savais pas se que j'avais fais. Quand il m'ont vu avec un gros sac, je leurs dit que j'avais oublie se bagage et monta dans ma chambre. Quand j'arriva dans celle-ci je soupira et lâcha le sac avant de rire, d'un rire franc et vrai !

- Wouaw ! Qu'est que ça fais du bien ! Ha ha ha ! Dis en m'étalant sur le lit, je fixa le plafond avant de voir sur un des murs une trace...Je décidas de m'en approcher...C'est bon, je sais pourquoi elle est là, c'étais la chambre dans là quelle moi et Katsuki jouions petits. Cette chambre est pleines de souvenirs, assez vieux mais pourtant si proche. Je m'assit a même le sol, tout-en regardant cette marque, ce dernier vestige de mon enfance heureuse...Sans m'en rendre comte je commença a pleurer. Et quand je le vu je me maudit, pour ma faiblardise... 

- C'est pas faible, c'est la preuve que tu as des regrets, que tu as des sentiments et que même si tu as changer, que tu n'est plus le même qu'avant il te reste des souvenirs et des choses ressentis par le passer. C'est ça, la vrai force ! Me dit une voix assez flou, je n'arrive pas a deviner a qui appartiens cette voix...

Elle a peut-être raison...Nan ! J'ai pas fais tout ce chemin pour rien ! Penses-je rageusement, je me calma peu à peu puis souffla. Je finis cette journée, étaler a même le sol et fermant les yeux pour sombré dans le vide d'une nuit...


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Ca fais longtemps et voilà un chapitre pour pas vous décevoir de la réécriture 

Kiss kiss


Toute fin a un début... [en réécriture]Où les histoires vivent. Découvrez maintenant