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J'observe ses mâchoires se mouvoir autour de son cigare avec décontraction. La fumée enbaume sa petite fenêtre close dans laquelle il reste coincé ; je l'aperçois tout au plus mal traité. Ses longs doigts fins caressent l'intérieur d'une cuisse brune, alors dans ce cadre insalubre il s'allume. Avec délice il goûte aux plaisirs d'un tissu de mensonges doucement conconctés par les soins de son aimée, ses contours se détendent, accompagnés par un grognement rauque venu d'un animal blessé. Mais il reste toujours encadré par sa fenêtre mal fermée, et je me délecte de ses vices, de ses dangers.
Il m'hypnotise dans un coin de son triangle, me faisant croire au parallélépipède rectangle ; une illusion dans laquelle je me couche aisément, à tord et en baisant... Ses douces mains de mes piteuses lèvres, mes chevilles menottées par la poigne qu'a son regard, j'me sens comme une empotée. Maladroite et ridicule, je l'aperçois de loin, me traitant comme un funambule qui s'endort lors de son premier... [trois ptits points] ... somnambule, c'est tout ce que j'ai de toi : un bout d'ongle et tes cheveux gras.
Oh par ma fenêtre, je t'aperçois
Laisse-moi juste t'offrir mon bras
Te laisser pleurer abondamment chaud comme froid
Mais tu préfères salir mon nom et c'est ton choix
Tu te lies à une rancune qui ne te ressemble pas
Ne te déguste pas du bout des doigtsIllusion illusion
BisouBiseBébé vent violent brise-moiJe ne t'ai jamais connu réellement, alors pourquoi as-tu tant de vigueur ? De toute cette rend-coeur, tu ne vois pas le bout, et je ne vois que toi ! Je ne vois pas ton bout. Je ne comprend pas. Un peu pitoyable, peu sobre et immorale, de derrière ma fenêtre, je vois tes vitraux vert corail. L'heure tourne, les aiguilles me font souffrir. J'ai assez perdu de temps avec toi, [nom], à t'aimer sans perte et sans don. Il est temps que je cesse mon observation aigre-douce de toutes tes manières.Vis-bien toi. Vis-bien sans moi. Vis bien tout droit, f*cking prend soin de toi. J'étais lamentable, à genoux sur l'asphalte retournée sur le tex dans un kiosque dans un squat dans une putain de calèche. J'irai être lamentable ailleurs, [nom] j'irai péché ailleurs, [nom] kleptomane de tes idées noires, [nom]. J'danserai éclairé par un phare, je séduirai les hommes des beaux-arts, je pars croquer dans la pomme tom-boy je me suis monté la tête toute seule.
J'suis misérable j'me traine seule dans la boue, [boy]. L'âge qui tend vers l'vieux et la corde au cou. J'me faufile dans son trou comme une carpe [koi].Rudes sont mes nuits sans tes mots pour l'accompagner, donc souhaite-moi de beaux rêves pour me faire vivre quatre ou cinq éternités. Je détourne le regarde de ta fenêtre, me détache de ma propre fête. Aujourd'hui je me soûle encore une nuit, à la bière et au whisky, je compte bien m'soûler à la vie. Coma éthylique je danse comme ta [métaphore phallique], 1+1 = 3, c'est si simple c'est chimique dans ton lit c'est magique des images fantastiques et des objets métalliques.
Carapace d'asticot,
Ta limace mon coco
Je l'astique, rigolo
J'fais rotir mon gigot
Tout doux comme un agneau[boy]
J'en ai assez, je fErMe LeS vOlEtS

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SCIENCES DURES
Puisiils jouaient aux petits chimistes avec leurs substances pas très licites