The Umbrella Academy

Imagine 3:

Comment vous vous êtes rapprochés :

Luther:

Les petites discussions improvisées étaient devenues votre petite habitude. Le soir lorsque tu rentrais du lycée en faisant bien attention de faire un détour par la demeure des Hargreeves tu t'arrêtais quelques instants sous la fenêtre du numéro 1 et lançais un cailloux sur le volet.

Luther ouvrait alors la fenêtre et sortait par cette dernière et vous parliez jusqu'à ce que tu sois obligée de rentrer chez toi pour faire tes devoirs.

Un jour, au détour d'une conversation, tu demandas:

- Tu ne t'ennuies pas un peu, à rester toujours enfermé dans cette maison?

- Non... père est gentil avec nous et...

- Tu mens ça se lit sur ton visage.

- Oui je m'ennuie terriblement.

- Tu n'as jamais pensé à fuguer?

- Ce ne serait pas bien pour l'ensemble de ma famille.

- Comme tu veux, tu peux toujours imaginer...

C'est à partir de ce jour là que chaque nuit et à chaque fois qu'il avait du temps libre, Luther se mit à songer de liberté.

Diego:

Cela faisait maintenant trois mois que Diego et toi vous voyez à peu près tous les jours afin de parfaire ton entraînement.

- Aller encore vingt abdos!

- Si je fais encore un seul abdo je crois que je vais vomir.

- C'est pas mon problème.

- Tu ne diras plus ça quand j'aurai repeint ta combinaison en latex avec mes céréales.

- C'est du cuir pas du latex.

- Bien sûr... tu sais tu peux assumer le fait d'avoir des pratiques bizarres.

Tu lui jetas un regard plein de sous-entendus, espérant le mettre mal à l'aise pour mettre fin au calvaire de son entraînement quasi-militaire. Au lieu de ça un sourire naquit sur son visage et il se rapprocha très près du tien... si près que pour l'éviter tu t'écrasas par terre en plein milieu d'une session d'abdos.

- Bien essayé ... mais dommage ça ne marche pas. Aller maintenant fais moi cinquante pompes.

- Tortionnaire.

- Oui oui je sais, moi aussi je m'aime.

A partir de ce jour vous avez pris l'habitude de vous lancer de petites piques, chacun testant les limites de l'autre.

Allison:

Vous avez gardé contact depuis l'accident de la dernière fois. Comme la star était sans arrêt en déplacement, vous ne vous voyiez quasiment jamais mais vous vous envoyiez des messages quotidiennement si bien que vous devîntes vite amies virtuelles.

Klaus:

Alors que tu rentrais chez toi, le jour de ta rentrée en seconde première année de médecine, tu retrouvas un homme complètement défoncé, dormant sur le pallier de ta porte.

Tu penchant pour vérifier si il respirait encore, tu reconnus le visage du numéro 4. Tu le tiras tant bien que mal jusqu'à ton canapé où tu l'installas en attendant qu'il se réveille.

Quand il émergea enfin de son "sommeil" agité, tu lui demandas:

- Que faites vous devant chez moi?