Sam et hermione

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Jeudi 17 novembre 2005

Tôt le lendemain matin, Hermione était debout et de retour à son état normal. Il était beaucoup trop tôt pour préparer le petit-déjeuner. Non seulement Teddy, Harry et Severus étaient encore endormis, mais le soleil ne s'était pas encore levé.

Elle décida de faire un rapide voyage sur le site protégé dans les bois et de les enlever, ils avaient des protections moldues repoussant sur eux, ainsi que des protections défensives; elle ne pouvait pas risquer que quelqu'un tombe sur eux et puisse être blessé.

Au lieu de transplaner, elle a enfilé une paire de baskets, un t-shirt et un pantalon de jogging, elle a attaché ses cheveux en arrière et a lancé un sortilège de réchauffement sur elle-même. courir.

Elle ne mit pas longtemps à atteindre l'entrée du bois, c'est alors qu'elle reprit le rythme, voulant voir à quel point ses sens et sa vitesse s'étaient vraiment améliorés. Elle a couru à travers les bois, ses pieds crissant contre les brindilles et les feuilles brisées, sa respiration sortant de la culotte. Quand elle sentit immédiatement son corps se contracter, elle arrêta de courir, reprenant son souffle, puis elle tira sa baguette magique et, vingt minutes plus tard, elle baissa les protections. C'était beaucoup plus facile, car ils n'étaient que de simples protections et que sa magie était impliquée dans leur établissement, sinon cela aurait pris beaucoup plus de temps.

Elle jeta un sort pour vérifier l'heure, voyant qu'il n'était que six heures et demie, elle décida de courir un peu plus longtemps, explorant davantage de bois.

Vingt minutes plus tard, elle se retrouva coincée dans un trou qu'elle ne vit pas. Elle poussa un petit cri et tomba à terre. Elle atterrit sur le ventre, ses mains l'attrapant comme une chute. Elle retira son pied du trou et se retourna, étendue sur le dos. Elle leva les yeux au ciel et fixa le rire, jusqu'à ce que ce soit devenu un rire total qu'elle ne pouvait pas contrôler.

Elle arrêta de rire et s'assit, ses yeux parcourant elle et elle agrippa sa baguette. Elle avait entendu un bruit.

Ses yeux s'écarquillèrent et sa respiration s'arrêta lorsqu'elle vit une silhouette sortir de derrière des arbres.

C'était un loup. Le plus grand loup qu'elle ait jamais vu, il devait mesurer au moins 8 pieds de haut, sa fourrure noire comme le jais se fondait parfaitement dans l'environnement sombre. Sans sa belle vue, elle ne l'aurait pas vue du tout.

Elle essayait de contrôler son instinct de courir; cela ne ferait qu'encourager le loup à l'attaquer.

Mais alors le loup a fait quelque chose d'étrange. Il tomba sur son ventre et commença lentement à ramper vers elle. Plus elle se rapprochait d'elle, plus elle se sentait détendue et sa respiration s'équilibrait et elle relâcha sa prise sur sa baguette.

"Euh, bonjour", dit-elle nerveusement quand le loup s'arrêta à côté de lui, son nez contre sa cuisse et elle sursauta sous le choc. Il leva la tête et la posa lentement sur ses genoux.

Elle était figée sur place avant de réaliser qu'elle se trouvait dans une situation incroyable. Elle leva lentement la main et la passa dans la fourrure du loup, se grattant la tête. Le loup ronronna bruyamment et un sourire éclata sur son visage alors que ses mains parcouraient le doux et épais manteau. Elle se gratta derrière l'oreille et rit un peu lorsque la langue du loup tomba de sa bouche, se tenant sur le côté, ça lui rappelait tellement Sirius.

Le loup ouvrit les yeux et la regarda, elle haleta sous le choc. Ses yeux, elle les avait déjà vus. Elle les voyait tous les jours au petit-déjeuner, elle les surpris en train de la regarder alors qu'il pensait qu'elle ne regardait pas. Ils étaient les yeux de Sam.