Un deuxième meurtre sanglant

chap. 1

Courir jusqu'à essoufflement est très dur pour le corps quand qu'on vient de finir de manger son repas du soir, l'estomac n'a pas fini de digérer pour créer de l'énergie pour le corps humain. De plus, le corps se fatigue plus rapidement et la respiration est beaucoup plus dure à prendre pour la personne. Mais tant pis...

-Lorsqu'il faut tuer pour obtenir quelque chose, il faut savoir mettre de côté la souffrance et se battre pour l'obtenir. M'avait-il dit avant que je m'enfuis.

Cela fait environ une trentaine de minute que je cour pour ma survie, mais je n'ai jamais réussi à échapper  à se monstre. Même avec tout les virages de droite à gauche, que j'ai utilisé pour m'enfuir. Rien ne marche!

Tout se que je peux faire pour le moment est de courir et courir pour ma liberté!

Depuis une semaine, il me torture jusqu'à évanouissement, mais maintenant que j'ai réussi à lui échapper et d'avoir récupéré les quelques forces qu'il me reste dans tout mon être. Je me suis enfuis le plus loin possible pour gagner du temps, avant qu'il me retrouve...

Je veux que tout le monde découvre son vrai visage et qu'il se fasse arrêter pour tout ses crimes dégoûtants. C'est pour cela que je cour sans arrêter pour aller le dénoncer à la police, je cour et lui me poursuit.

Comme le jeu de chat et la souris, mais cette fois ça se joue entre la victime et le criminel.

Il fessait noir, très noir. La course poursuite se jouait maintenant dans une Park avec très peu de lumière. Je voyais pas où je m'étais les pieds, mais sans savoir pourquoi j'ai sentis une grande douleur dans les genoux. En baissant ma tête pour voir qu'elle était cette étrange douleur  et sensation. C'est à se moment là que je su qu'il m'avait rattrapé avant que j'atteigne mon objectif. Mon genoux étais en sang, le sang dégoulinait tellement que je n'avais pas remarqué le couteau qui se dressais, droit comme une flèche, dans mon os. Je me mis à crier quand qu'une main que je connaissais très bien, me brisa mon bras.

- On ne touche pas à se qui m'appartient. Me dit-il d'une voix sombre et effrayante.

La douleur, toujours de la douleur, mais ma douleur était beaucoup moins intense pour moi, que pour une personne qui ne souffrais ne sais jamais fait torturer. Moi m'étant en quelque sorte habitué à cette répugnant torture, en une souffrance, ne ressentais plus grand chose.

Mais je ne me suis pas pour autant laissé faire. Je me suis battu jusqu'à la fin de mes dernières forces et de ma vie.
Je n'aurais pas réussi à le dénoncer, mais j'ai pu lui sauver la vie. À l'homme que j'aime de tout mon être et qui me hante l'esprit, depuis très longtemps. En t'en que meilleur ami et lainé du groupe, je dois protéger mes cadets, non?

C'est pour cela que pendant qu'il me casait la deuxième jambes, j'ai lancé la bague de notre gang, pour qu'il sache que c'était moi la victime.

La dernière sensation que j'ai ressentis avant de partir étais les vingtaines coups de couteau dans mon cœur. Mourir poignardé, qui avait pensé que j'allais mourir ainsi.

Mais comme on dit, le futur nous réserve des surprises.

Kim Jong-in, mort le 14 juillet 2019 à 2h24 am

KM125