YoonGi, un homme seul.
HoSeok, un homme voulant être seul.
Un homme en manque de sexe et rempli aux as.
Un homme putain pour avoir de l'argent.
Une rencontre ni belle, ni romantique.
Seulement sensuelle.
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《 ȿɵρɛ 》
『 chapitres courts 』
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« Hé, tiens le putain ! ; Tout en disant cela, le vieil homme balança deux billets de vingt euros chacun à HoSeok ; Merci pour aujourd'hui. »
Sans un mot, le jeune roux se rhabilla. Ce qu'il payait mal par rapport à YoonGi ; se surprit à penser le basané en sortant de la chambre sale. Il secoua sa tête à nouveau pour faire sortir le mentholé de ses pensées.
Sortit de l'hôtel et sentant l'air frais sur la peau de ses avant-bras nus, il se demanda l'heure qu'il était. Sa main glissa dans la poche arrière de son mini-short noir et en sortit son vieux téléphone. 17H47. Il avait encore le temps de reprendre un client avant de devoir rentrer pour s'occuper du repas de sa sœur. HoSeok se dirigea alors vers son trottoir de toujours tout en se frottant les bras car le froid du vent était presque mordant et venait brûler sa peau. Quelques minutes plus tard, il se retrouvait à l'endroit où il désirait être. Soudain, en voyant une silhouette qui lui était familière il se mit à froncer les sourcils. La personne se trouvait à l'autre bout de la rue, le reconnaître était plutôt dur pour le basané qui avait une vue qui laissait de plus en plus à désirer. Mais qui était-ce ?... YoonGi ! C'était YoonGi ! Dans un geste vif, le jeune roux se cacha sur le palier d'une maison. Mais que faisait-il là ? L'esprit d'HoSeok inventa toutes les idées pensables mais aucunes ne lui paraissaient plausible. Était-il là pour lui ? Non, sûrement pas. Il n'était qu'un putain parmi tant d'autres... Il devait être là car il était à la recherche d'un cul à trouer. Le basané souffla, presque déprimé par les pensées qui lui traversaient le cerveau. Son corps glissa sur la porte de la bicoque et ses mains vinrent cacher son visage fatigué. Accroupi ainsi, il avait presque l'impression d'être protéger de tout. Jusqu'à ce qu'une voix vienne troubler son semi-sommeil :
« Hé, HoSeok ! Viens ici, je t'ai vu, inutile de te cacher plus longtemps ! » ; Cria une voix rauque étrangement proche et lointaine à la fois.
Le corps épuisé du roux se leva machinalement. Son esprit hésité entre fuir loin et aller vers l'homme qui venait de l'apostropher. Ses hésitations mentales furent prises de court par son corps qui se dirigea de lui-même vers le mentholé, peu importe l'étrange peur qui lui tiraillait le ventre.
