C'est pendant cette légère soirée d'hiver,
Mon sac noir sur les épaules,
Que j'en ai décidé.
J'ai longuement réfléchi,
Se sont les étoiles qui m'ont conseillés.Elles m'ont dit :
«Eh, t'as qu'une vie et on sait que t'en a envie».J'ai fermé les yeux et doucement,
J'ai hoché la tête.Elles ont continué :
«Si tu sors tu vivras. Reste et t'en mourras».Un dernier coups d'œil,
J'en ai fermé mon sac.
Ce soir en fermant ma porte,
Elles étaient pas là.
Mais j'y suis aller.
Sans elles,
Avec moi même.
Une fois arriver là bas,
J'ai regardé vers le ciel.
Elles elles étaient pas là,
Mais elle oui.
La belle qui éclaire ma nuit,
Sa courbe si accrochante,
Son histoire si poignante.Elle m'a dit :
«Bienvenue chez moi...Chez toi maintenant».J'ai souris et fermé mes mains.
Elle a continué :
«Lâche prise»J'ai lâché prise.
C'est pendant cette froide soirée d'hiver,
Que je me réveille à côté d'elle,
Murmurant aux autres la vie des étoiles,
Leurs donnant envie de la rencontrée.
Bientôt ils viendront chez nous,
Chez moi,
À côté de la belle et des conseillés.Je lui ai dis :
«T'as qu'une vie, sors d'ici et t'en crèveras, reste chez toi et t'en vivras».Ossimplement.