Souvenir d'un soldat

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Ma conscience s'éveille doucement...J'ai bien du mal a y croire, mais je suis en vie...J'ai survécus a cette chute. Bon, maintenant plus qu'à savoir ou je me suis retrouvé...J'ouvre doucement les yeux et m'assois, regardant autour de moi. La première chose qui me saute aux yeux fus l'obscurité. Si les couloirs ou le cadavre me courez (enfin marchez serait plus exact) après était sombre, là on voyait a peine un ciel bleu gris. L'air est froid, vraiment froid, et cette odeur, cette odeur nauséabonde qui agresse mes narines, j'en avait trouvait la provenance. C'est une sorte de mélange de sang, de saleté et de terre. Je parvins alors à me levais et commence à marché dans la pénombre.

Plus j'avance, plus je vois des sortes de ruines de maisons de fortune, des reste de feu de camp, cela me fait un peu pensés au tranchée, là ou vivaient les soldats de la première guerre mondiale. Je distingue avec difficulté des files barbelés en hauteur. Un frisson parcourut alors ma colonne, le rire provenait de...juste la, derrière moi ! Je n'ai même pas le temps de me retourner, il me balaye et me mes au sol, face à lui, toujours son foutus sourire au visage.

Je tremblais, son visage me terrifie, il ressemble tant à un humain, et pourtant, il reste un monstre ! Mais maintenant que je le vois de près, juste en face de moi, son corps, il ne ressemble vraiment plus à rien, enfin si il à ressemblait à quelque chose un jours. J'arrive a deviner ces côtes, son regard, il n'a même pas d'yeux distinct, mais il me regarde droit dans les miens, sa je ne peut pas le nié...J'arrive egalement a voir un sorte de mucus noir present sur son corps, degouilant également de sa bouche et de ces narines...Mais le pire, c'est son putain de sourire. Deux rangée de dents humaines, jaunis avec le temps. J'arrive a voir des bouts de chairs entre certaines, il y a également du sang. Je me doute a qu'elle espèce appartiennent ces restes, mais je n'arrive pas a y croire.  Il est la, juste devant moi, prêt à me bouffer, sans que je ne puisse rien n'y faire.  

Les larmes me montèrent, je ne veut pas mourir comme sa ! Je ne veut pas finir dévorer, par ce monstre, sans même avoir pus me défendre. Je laissa alors mes larmes coulaient. De toutes manière, quoi qu'il arrive, nous ne sommes que nous deux ici, sans personne pour venir à ma rescousse. J'avais beau forcé, rien n'y fait, il à beaucoup plus de force que moi...Bon sang, j'étais sur le point d'être libérer, je ne peut pas mourir, pas maintenant, pas avant d'avoir revus au moins une fois la lumière du soleil...Je décide de fermer les yeux, trop effrayé pour affronté la mort.

Un grand bruit parvient alors a nos oreilles, on aurait dit...Un avion ? Le vieux me relâche, et m'abandonne la, c'était enfuis en courant, pour de vrais cette fois si. Je ne comprend pas, mais l'important est que je sois en vie. Je me lève et, après avoir réouvert les yeux,regarde le ciel...Plusieurs oiseaux, énorme passent au dessus de la tranchée. On aurait dit des avions, prêt a larguer des bombes, mes jambes me lâchèrent, la peur me prit, je tombe sur mes genoux, voyant passer certainement se que voyait les soldats durant leurs cauchemar, une déformation de la réalité monstrueuse et terrifiante.

 On aurait dit des avions, prêt a larguer des bombes, mes jambes me lâchèrent, la peur me prit, je tombe sur mes genoux, voyant passer certainement se que voyait les soldats durant leurs cauchemar, une déformation de la réalité monstrueuse et terr...

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A suivre...

Brèche de confinement. [Terminé]Où les histoires vivent. Découvrez maintenant