Hermione et Alec et Demetri (twilight)

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Dimanche 2 août 1998

Le regard d'Hermione le retint alors qu'il s'accroupissait devant elle, le plaçant à la hauteur de ses yeux. Il ne parla pas pendant plusieurs longues secondes, ses yeux rouges se reflétant dans les bougies qui flottaient dans la pièce et sa peau pâle qui brillait légèrement, la faisant se demander à quoi elle ressemblerait au soleil.

"Votre corps peut-il gérer la différence de température?" il a finalement parlé. "Nous n'avons eu aucun contact avec la peau sauf pour tenir la main, je ne souhaite pas que vous tombiez malade."

Sa bouche se contracta en un sourire. "Je suis sûr que je peux y faire face, Alec, et s'il le faut, il y a des sorts pour de telles choses", répondit-elle.

Elle bougea une main pour qu'elle repose contre la baignoire et la souleva de manière à ce que ses doigts traînent sur sa joue, sentant la différence immédiate de température du corps. Il inclina légèrement la tête alors qu'il se penchait dans son toucher délicat, ses doigts bougeant de sa joue pour traîner sur sa mâchoire.

"En plus, j'aime bien notre différence de température," lui dit-elle et il haussa un sourcil. "J'ai entendu dire que l'Italie était tout simplement magnifique en été et je pouvais déjà sentir la température qui commençait à se réchauffer dans le château. Au milieu d'une vague de chaleur, tout ce que j'ai à faire, c'est de vous câliner et vous serez ma propre glace boîte, pas de magie est nécessaire et vous m'empêcherez de fondre dans une flaque d'eau. "

Il secoua légèrement la tête avant de placer un doux baiser entre ses doigts tandis qu'ils glissaient sur sa lèvre inférieure, sa bouche se transforma en un sourire et elle retira sa main.

"Alors, quelle est votre décision?" elle a demandé.

Il garda son regard rivé sur le sien avant de se lever lentement et de vouloir retirer sa chemise. À sa grande surprise, il le fit à une allure humaine. Elle laissa ses yeux se poser sur sa poitrine, observant que chaque bouton était lentement dégagé et que plus de sa peau pâle était révélée à ses yeux. Elle soupira quand il retira la chemise de ses épaules et celle-ci glissa le long de ses bras avant qu'il ne la plie et la pose par terre. Sa bouche se contracta d'amusement, mais elle ne sembla pas gênée par sa réaction ni par être prise en train de regarder. Sa peau était exempte de marques, de morsures ou de cicatrices, le laissant parfait. Sachant qu'il avait été brûlé sur le bûcher, elle s'était attendue à avoir peur, mais il n'y en avait pas. Elle fut surprise de voir que malgré le fait qu'il ne soit pas trop musclé comme elle le soupçonnait, Demetri aurait eu un peu de force dans les bras, à peine visible sur la poitrine et le ventre.

Honnêtement, elle s'attendait à ce qu'il soit un peu plus mince, sachant que lorsqu'il a été changé il ya un millénaire, la nourriture risquait d'être rare et que, faute de santé et de soins médicaux, les gens avaient tendance à mourir jeune. Je ne m'attendais pas à ce qu'il soit en si bonne santé. Mais encore une fois, s'il avait été impliqué dans un travail physique comme il l'avait probablement été, il aurait quelque chose à montrer pour cela, en particulier une fois que le venin de vampire a inondé son système. Le venin de vampire était connu pour renforcer et améliorer vos meilleures qualités pendant le changement.

Ses yeux aperçurent son avant-bras droit où se trouvait une marque de morsure cicatrisée, et ne voyant aucune autre marque sur lui, elle sut que c'était la morsure qui l'avait changé. Ses mains bougèrent pour dégager le bouton de son pantalon et elle détourna les yeux, décidant qu'elle lui laisserait un peu d'intimité à cette occasion. Elle se glissa dans la baignoire pour lui permettre de monter derrière elle et elle se pencha en avant, tournant le robinet d'eau chaude pour ajouter plus d'eau chaude dans la baignoire, car elle avait perdu une partie de sa chaleur. Elle appela sa baguette et la tapota à la surface de l'eau et des bulles apparurent bientôt. La pensée de sa sérieuse Alec qui se détendait dans un bain moussant était une pensée qu'elle ne pouvait s'empêcher de trouver amusante et contraignante.