Des mondes qui s'entrecoupent voilà comment on voit les choses.
Les lieux les gens les objets les buts.
Parmis eux mon plus grand paradis se voit rétrécir et pourtant donne toujours plus de lumière.
Ce paradis m'obsède en tout temps, le temps et encore le temps. Car si tout est faux et que les yeux se ferment dans le noir. Alors mon obsession est fondée. Mon petit coin de paradis est tout joli mais le temps est la aussi.
J'ai peur, je ne veux pas
Mon monde n'est que souffrance et amour dès la base
Melanger l'amour des gens qui souffrent de plus en plus
Le bien de leur amour mais la profonde tristesse qu'ils souffrent quand que vous puissiez agir
Plus vous agirez et plus il y aura de souffrance
Alors la frustration se terre dans un coin et le monde s'effondre s'effrite et tombe en lambeaux.
Je lie des murs a moi
Je suis un sol et j'ai peur que les murs partent
Mais surtout j'ai peur que le plafond ne sois plus la .
