secret love

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- Au revoir Paul, dis-je en pleurant.

- Au revoir mademoiselle White, dit-il en m'étreigant. Je regrette de ne pas pouvoir être là pour vos 17 ans. Vous êtes devenus une magnifique jeune femme et j'ai eu le plaisir de vous voir grandir. Sa a été un honneur mademoiselle White.

- Jespère que vous ferez bon voyage.

Il essuis la larme qui coulais sur ma joue et me souris tristement avant de se lever et d'adresser un hochement de tête à mon père qui restait neutre, mais avec un étincelle de tristesse dans les yeux.

- Aurevoir messieurs White.

Mon père lui serre la main et Paul lui souris. Ma mère a les larmes qui coule a flot et saute dans les bras de Paul qui semble mal halaise par ce geste d'affection.

- Merci Paul, pour tout se que vous avez fait, merci.

- C'était mon travail madame.

- Vous avez toujours été loyale envers nous. J'ai déposé 1 millions sur votre compte pour vos bon et loyaux services, intervient mon père.

Paul arrête un moment de respirer et le regarde les yeux rond.

- C'est beaucoup trop messieurs, je n'est pas besoin de cette argent.

- Vous partez pour consacrer votre temps à votre famille et cette argent comblera vos besoins. C'est la moindre des choses que je puisse faire pour vous.

- Merci messieurs.

C'est la première fois que je vois mon père lui parler sans autorité.

Paul prend sa valise et mon père lui ouvre la porte. Il inspire profondément et me regarde avant de disparaitre dans un taxi.

Se fut la dernière fois que je le vis. Le domestique qui m'avais presque élevée était partie.

*****

Paul avait envoyer des coordonnées à mon père sur un homme pour le remplacer.

Mon père à accepter de le voir aujourd'hui pour le rencontrer. Je ne veux pas que quelqu'un remplace Paul, mais mon père pensais autrement, même si il adorait Paul et qu'il ne l'admetterait jamais.

*****

J'attendais avec mon père dans sont bureau et le regardais qui était neutre n'affichent aucune émotions. Il attendais patiemment, les main croiser devant lui, attendant que notre inviter passe la porte.

- Pourquoi est tu toujours aussi sérieux ?

Assis sur le coin de sont bureau je le vis me lancer un regard.

- Je suis un homme d'affaire Ana. Dit t'il comme si sa justifiait tout.

- Et ?

Il allait me répondre, mais un cou à la porte l'interrompit.

- Entrer, dis mon père.