Au plus profond de son être, sabr ne voulais pas se situé dans la même pièce que son patron. Non pas seulement pour des raison professionnelle, mais pour des raison de sécurité, et aussi par crainte d'Allah. Sa religion lui imposait des limites.
Elle se fait interrompre le court de ces pensés lorsque son alarme sonna, lui indiquant l'heur de la prière de Asir.
-Ou allez-vous comme ça? Questionna son patron lorsqu'elle pris la direction de la sortie.
-Et je... Je vais...
-Depuis ce matin tu na pas formuler une phrase correcte, je me demande si tu sais parler? Fit il avec un air moqueur
-Veillez m'excuser monsieur mais j'ai pas trop la tête à parler end ce moment, se défendit elle avec une voix tremblante.
Il était 18h passé lorsque sabr effleura les portes de chez elle. Elle fut les salam et par directement dans sa chambre. Ce qui n'échappa pas du tout a sa mère qui n'a pas l'habitude de la voir aussi froide.
Elle rentera Dans la chambre de sa fille et trouva celle-ci vide. Asma pivota les talons lorsqu'elle senti le poignet de la porte de la douche se baisser. Elle se dirigea vers sa fille qui avait les yeux tout rouge, ce qui la fit conclure qu'elle avait sans doute pleuré.
Ne voulant pas très vite donner une réponse a ces propres questions, elle demanda a sa fille en lui caressant la joie tendrement.
Ce geste si affecter la fut craquer, comme si elle n'attendait que l'occasion.
-qu'est ce qu'il y'a ma prunelle? Pourquoi toutes ces larmes? L'interrogea sa mère cette fois ci en lui caressant le dos.
-Jai l'impression de m'étouffé partout ou je vais maman, j'ai peur des jours a venir, j'ai peur de la tournure que prend ma vie. Dit-elle toujours dans un sanglot
-la vie nous réserve pleines de surprises ma chérie, tu doit être forte pour les surmonter une a une.
N'oublie jamais qu'Allah n'éprouve que les croyants. Lui murmura sa mère en la prenant dans ces bras.Quand a la santé de son père, Sabr se sentait soulager a chaque fois qu'elle le vit sur pieds. Mohamed était certes un homme fort mais surtout croyant. Il vouait une confiance aveugle en sa religion, ce qui augment sa foi.
De part cala, il était un bon père et un mari irréprochable. Malgré leur condition de vie peut aisée, il fait tout pour que sa famille ne manque de rien. Il avait enlever et inculper a ces enfants des bonne valeurs et il en est fiers Aujourd'hui. Les gens le respectait énormément et prenait même exemple sur ces enfants quad l'occasion se présentait.
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1mois s'était écrouler durant lequel Sabr passait a perfection son travail, mais ne puis toujours pas se détendre en présence de son patron. Elle avait fini par se mettre a l'idée qu'elle ne le fuyait pas seulement parce que sa religion la lui imposait, mais parce- qu' elle ressenti naitre en elle une sensation inexplicable en sa présence.Est ce toujours de la peur?
Non! Pas la moindre du monde!
Elle senti son coeur battre au plus profond de son être comme s'il voulait d'arrêter . Et pire encore, elle se sentait de plus en plus attacher a sa seul présence, elle éprouvait le besoin d'être en sa compagnie.
Néanmoins, elle gardait ces distance de lui. Bien qu'a plusieurs reprise il tenta de l'aborder, mais elle se limita dans un cadre purement professionnel. Sa puissance au yeux du monde et sa réputation faisant de lui un homme des plus important de la haute société, la jeune femme se privait de tout lien qui pouvait les reprocher.
Ce matin, Monsieur l'autoritaire semblait de mauvaise humeur. Il se met a crier sur les personnels depuis l'entrée. Il passa devant la secrétaire qui le salua sans qu'il ne prend la peine de lui adresser même un regard et prend l'ascenseur pour son bureau, il ouvrit la porte et fait sursauter la jeune femme assise devant son écran depuis une demi heure.
Elle releva la tête pour croiser son regard noir et la baissa aussi tôt.
Elle se met debout pour le saluer avec un geste de la tête, mais ce dernier se contenta de contourner son bureau pour se carré dans son immense fauteuil en cuir avec le regard plus sombre qu'un ciel orageux.
-Mademoiselle mon café, ordonna t-il a la jeune femme qui était déjà au bord des larmes.
Elle se leva difficilement et se dirige vers le petit barre qui se tenait au fond de la pièce et lui sert un café. Mais ne savant pas comment le prend l'homme au regard ténèbres, elle hésita un instant a le lui offrir.
-Je ne veux pas me faire repérer, je veux mon café, grognait-il une voix qui provoqua des frissons a la jeune femme.
Elle Lui tendit le vers qui prit et porta a la bouche, mais grande fut sa surprise lorsqu'il le recracha sur sa figure.
Elle recula d'un pas lorsqu'il se mit a crier sur elle.
-c'est quoi cette merde, ça c'est un café ? Ou-bien tu veux me tuer?
-je vous demande pardon Monsieur, je savais pas comment vous le preniez votre café. Lui répondit-elle avec le visage inondé de larmes.
Son expression se changea aussi tôt qu'il croisa le regard de la jeune femme, et il sut qu'il venait de faire une bêtise qu'il regretta a la seconde près.
Il lui tendit un mouchoir quelle accepta après avoir hésiter un moment.
-Je Suis désolé, lâcha t-il comme s'il voulait effacer sa bêtise en même temps.
Elle acquiesça par un signe de la tête et reparti prendre place sur son siège.
Il resta debout comme une statu les mains moites entrain de l'observer.
il se maudissait intérieurement tout en la contemplant, elle était doter d'une beauté envoûtante, ces lèvres pulpeuses, légèrement entre-ouverte, lui donnait une envie folle de les gouter. Il se senti envahi par un désir qui lui est aussi inconnu.
Oui, il la désirait comme il n'avait jamais désiré une autre femme.
pourra til se tenir aussi longtemps loin de cette femme qui le fait franchir ces propres limites? Telle était la question qui tournait dans sa tête lorsque Mr. Touré fait son entré pour lui rappeler une réunion important avec ces collaborateurs.
Il quitta enfin sa torpeur et se dirige d'un pas nonchalant vers la sortie pour rejoindre la salle de réunion Ou l'attendait déjà ces invités.
Assis sur son siège en face de tout ces hommes qui lui vouait un intérêt personnel, Rachid pensa a la jeune femme qui depuis leur première rencontré, s'était frayer une place dans son coeur qu'il croyait meurtri par son passé
un passé sombre et douloureux mais qui la pourtant forger en cet homme impitoyable et dangereux qu'il paraissait au yeux de tous.
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Sabr: Lien sacré
Romance-Lui: oui je boit, je fume, je me drogue... Je passe la plus grande partie de mon temps dans les soirée, les boites de nuit, je traine avec mon meilleur pote jusqu'à des heures tardives sans jamais me soucier de quoi, ou de qui que sa soit. to...