" La vie est un art qu' il faut savoir utiliser toute les couleurs même les plus sombres "
" il y a que la haine que tu connaissais ? "
Je suis née ainsi
Je suis une âme enchaînée à la vie
Seule dans l'obscurité
Je cours pour oublier...
A la vue de la grande bâtisse qui se dessine en face de moi une boule se forma douloureusement dans mon ventre.Une grimace de dégoût s'afficha sur mon visage dû à des souvenirs,mes mains se mîrent à trembler
Non! Non!Non! Pas ici pas maintenant mumurais je à mes mains Voix1: tu dois paraître normal bon sang Je veux être normale putain.
Mademoiselle...mademoiselle esce queallez bien s'inquiète il J'ai l'air d'allez bien repliquqais je froidement je degageais brusquement ses mains de sur mon épaule d'où il se permet de me toucher lui?
J'avançais dans le brouhaha me dirigent vers l'entrée du grand bâtiment . Je sentais des regards se poser sur moi des chuchotements. Moi qui voulais passer inaperçue c'est raté, je traversais l'immense couloirs foudroyant du regard certaines personnes qui s'avéraient trop curieuse à mon égard puis je trouvais réfuge dans le parc du lycée . Je m'assois sur un banc quelconque et les observent tous souriants , heureux de se revoir,les accolades les câlins et les cris de joie étaient au rendez-vous tout le monde trouvait sa meute et les échanges délirentes sur les vacances embrassaient la cours du lycée. Pathétique trouvais je ,le même système, les mêmes paroles. Pense t-'ils toujours raconter leurs vacances , leurs vêtements ,reluquer des gars cons ou encore maté des culs de putes à chaque rentrée. Ils n'en ont pas marre de cette spirale infernale bon bref ainsi va la vie.
Externe
Isolée dans sa bulle où seuls ces doigts s'amusèrent à allumer et à éteindre son briquets. Le regard hargneux elle s'imagina plein scénario tragique ,atroce elle se vit bruler tout le lycée grace à son briquet d'amour. Des lycéens hurlaient comme jamais pleuraient couraient d'autre se tortillaient le feu les consumaient petit à petit les détruisait comme un vulgaire chiffon qu'ils sont et elle souriait fière de son oeuvre vous connaissez ce sentiment indescriptible de se sentir invincible indestructible c'est ce qu'elle ressenterai en ce moment precis. Joyeuse de les voir souffrir autant qu'elle c'est comme ça qu'elle s'imaginait la rentrée . Elle détestait le bonheurs d'autrui, peut être pensez-vous qu'elle était égoïste ? Mais elle s'en foutait de ne pas être gentille envers eux ils ne l'ont pas été avec elle non plus Pourquoi eux ont-ils droit au bonheur et pas moi? Se questionnait elle souvent.
D'une démarche de garce roulant leurs fessiers de gauches à droites des escapins long et pointus frappaient le sol à chaque mouvement faisant résonner un bruit assourdissant insupportable.Elle s'approchèrent d'elle, toujours dans sa bulle elle ne vit pas le rassemblement autour d'elle .
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Qui es tu? Demanda une des filles . Trop occuper à jouet avec son bébé elle n'entendis pas Hé je te parle dit la fille en lui secouant l'épaule. Elle releva brusqument sa tête et planta son regard meprisant insoutenables remplit de haine. La fille qui parlait et ses copines reculaient d'un pas elles furent prises d'un frison désagréable La lueur au coin des yeux de Jayeleh n'était pas normale elle te faisait trembler te rendant faible rien qu'en les regardants . Ses yeux criaient "dégager maintenant avant qu'il ne soit trop tard"
