je vois la fleur poindre dans le creux de son oeil
la larme de la saponaire
s’éternise et vient choir sur ton cercueil
toi le débonnaire !je vois l’odeur de la putréfiée
ses cartilages décorés d’un linceul
aussi bien celui de la vague raréfiée
le décomposé veulje vois la fanaison de l’orbite
le noir du pleure incrusté
la pétale qui désormais s’abrite
sous le crâne de blanc et de rouge contrasté