Deux artistes qui font des tours comme au ciné
Qui perdent la raison quand il n'en y a plus
C'est beau telle une femme tombante sous nos nez
Et la mer ravivant ce tourniquet qui plut
Tournent ses images renversant nos longs yeux
A ne savoir plus qui est qui dans cet écran
Ou qui de l'employé ou du patron des cieux
Ne connait que ce détour qui ramène au cyan
De cette fille d'happy end en fin du monde
Et qu'on rêverait d'avoir pour l'éternité
Sur ce décolleté qui passe la seconde
Et ravive cet happy end en trinité
Que de diableries dans ces deux mots à pâlir
La fin et le moyen dans leurs seins se dessinent
Fleur délire d'amour va s'ouvrir ou périr
Que de diableries dans ces deux mots à détruire
La machine comme un cœur a redémarré
Quand on ne s'est plus qui est dans cette piscine
Ou le tueur a réussit à se désœuvrer
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Ô fou de son corps
PoetryAu fou, trois fois, de son corps, je suis Au fou, combien en sommes-nous sommes D'un même objet si tendre à l'Homme Qu'à son compagnon, son cœur de suie Au fou, trois fois, je suis De la même, et puis Que m'importe le vent Elle m'emporte autant Aup...