Chapitre 67 :

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Éricka :

J'attendais ça réponse  avec impatiente. On dirai qu'il le faisait exprès de me faire languir ainsi.

Moi : Putain dit moi ce que j'ai bien pus te faire pour que tu me maltraite comme un animal maudit. Tu te rend compte que t'es la cause de tout mes malheur. C'est toi qui m'as violé avant de m'épouser et de me faire vivre un cauchemar éveillé.

Daniel : Es tu prête a entendre la vérité Éricka ?

Moi : Plus prête que jamais !

Daniel fit un pas vers moi puis un autre. Il arrêta son avancé d'escargot pour une démarche assurée. Je recula mais il continua d'avancer.

Lui : Après notre mariage, après que j'ai appris a mieux te connaître, Je me suis dis que rien n'étais de ta faute et que j'étais le fautif. J'ai commencé a m'ouvrir a la vie et a avoir le goût de vivre. Cependant le jour où j'avais appris que tu étais enceinte mon cœur se brisa en mille morceau. Le plus dure était de te savoir enceinte d'un autre que moi en plus tu perdais la vie jour après jour tout ça pour garder un enfant qui n'était pas le mien. J'ai alors décupler toute ma haine envers toi. Ça me rendais fou de ne pas pouvoir vivre heureux a cause de toi.

Moi : Pour... Pourquoi ?

Lui : Parce que je te voyais te redressé a chaque fois que je te rabaissais...

Il continuait de venir vers moi larme en main.

Lui : Tu souriais devant moi et tenais tête a l'autre prostitué de Julia. Et ça tu vois ça me m'étais or de moi.

Sa voix avait changer. Elle était devenu roque. J'en frissonnais.

Lui : Le fait de te voir chaque jours caressé ton ventre et lutter pour survivre dans le seul but de donné un avenir a ce fruit de viol me brisait le cœur. Pour moi c'était parce-que tu en aimais le père.
Et ça aussi me rendais dingue. Max a fini par m'avouer qu'il t'avais drogué pour se venger de toi et ma tout dévoilé de l'identité de la jeune fille avec la qu'elle j'avais eu des ébats. Ça me rendais parano et il fallait donc que je te retrouve .

Il disait ces phrase au fur et a mesure qu'il s'approchait de moi et une fois arrivé tout juste devant moi il déclare d'une voix sans appel :

Lui : Et tu veux savoir pourquoi ?

Je hochai la tête incapable de prononcé un seul mot trop obnubilé par son regard devenu argenté a cause des rayons lunaires

Lui : Par ce que je t'aime Sánchez Stossel Éricka !

Cette phrase résonnait dans l'immensité de la nuit. J'étais pétrifié. Je gardais les yeux grand ouvert , la bouche entre-ouverte et mes tremblements cessèrent. Les larmes qui étaient jusqu'à là contenu dans mes paupières affluent sans stop. Je pleurai comme une baleine. Oui je pleurai. Je ne sais pas si c'était a cause de la haine que je ressentais ou juste par tristesse.

Daniel était là devant moi et me fixait comme si j'étais un ange descendu du ciel. Moi je me contentais de laissé mes flo d'eau écouler de les yeux et mourir sur mes lèvres.

Doucement je sentis le métal froid de l'arme se mètre en contact avec ma peau. Daniel referma ma poigne sur le flingue et recula d'un pas.

Lui : Maintenant que tu connais toute la vérité, a toi de faire un choix. Je ne tenterais rien si tu veux réellement te débarrassé de moi. J'accepterai cette finalité car je ne mérite pas moins. Mais si tu décide cependant de me pardonner je te promet de vous donné la vie que vous méritez a toi et a notre fille.

Sans trop réfléchir je laisse tomber l'arme au sol et me jette dans les bras de Daniel. Il me serre fort dans ses bras musclés.

Je sais que cet homme est la cause de tout les malheur et qu'il ma fait vivre un vrai calvaire mais le plus important était que durant ces deux dernières années je n'ai cessé de pensé a lui et le fait de l'avoir dans mes bras me prouve qu'il regrette.

Daniel se décolla un peu de moi. Maintenant nos visages sont a quelques centimètres près. Il plonge son magnifique regard dans le mien et approche sa tête de la mienne. Je pouvais sentir son souffle chaud sur mon visage. instinctivement que ses lèvres se rapprochaient des miennes je fermais les yeux. Lorsque ses douces lèvres se déposèrent sur les miennes, mon cœur sauta un battement. Une explosion d'émotion se mélangeaient dans mon ventre. Je me sentais bien. Il commençait lentement a émouvoir ses lèvres contre les mienne pour un doux baisé doux et passionné. Je déposa mes bras de par et d'autre de son coup pour approfondir notre baisé. Daniel me pris par la taille et me caressait le dos tendrement. Il se decola de moi un peu et me souffla un ''" je t'aime "" contre les lèvres. On se regardais droit dans les yeux. Cette fois ci se fut moi qui l'embrassa.

Le baisé doux pris une tournure sauvage. Daniel me dévorait des lèvres et nous fit basculé sur le sable froid de la plage. Il se tena au-dessus de moi.

Lui : Tu ne peux pas imaginé a quel point tu m'as manqué Éricka !

Je rougi. Sa voix était délicieusement roque de désir. Daniel m'embrassa avec la langue avant de descendre lentement dans mon cou où il me fit quelques suçons. Cela créa une douce chaleur dans mon bas ventre. Il continua jusqu'à ma poitrine qu'il dénuda avant de les caressé tendrement. Je lâchais mon premier gémissement de plaisir. Il continua jusqu'à mon ventre qu'il carressa en y déposant des doux baisés. Je Cambrais le dos pour en demander plus. Jamais je n'aurai imaginé que cela puisse me donné un tel plaisir. Daniel commençai a m'élever mes vêtements. Je me retrouvais bien vite en culotte devant lui. Mes seins en l'aire je ressentais la fraicheur de l'océan. Cette sensation disparu  bien vite lorsque Daniel ôta le seul vêtements qu'il me restai. Doucement il se déshabilla aussi puis s'allongea sur moi. Je n'avais pas honte ni peur. Tout ce que je voulais c'est qu'il reste a jamais près de moi. J'ecarta donc légèrement mes cuisses et d'un geste experte Daniel se positionna près de mon intimité. Je fermais les yeux en attente de la sensation.

Daniel : Regarde moi Éricka ! Me suscita t_ il tendrement avec la voix trahit par le désir.

J'ouvris donc les yeux. C'est ainsi que Daniel me pénétra avec douceur. Je me redit un peu a cause de la douleur ensuite un plaisir inouï c'est installé en moi. Daniel faisait des vas  et vient en moi de plus en plus profond et vite. Ça me rendais folle. La plage entière faisait écho de mes gémissements de plaisir.

L'aire frais, l'odeur pesant et salé, le bruit des vagues, l'humidité du sable fin , tout ces facteurs mélangé a mon désir mon permis d'attendre le sommet de mon plaisir.

Cette nuit là Daniel me fit l'amour avec tout l'amour qu'il avait pour moi et je me suis donné a lui sans drogue , de mon plein gré .

Tout allait bien se passé maintenant. Notre famille pourra bientôt être heureuse . . .

Enfin c'est ce que je pensais mais il se passa autrement.

Mariée a mon violeur [ Terminée ]Où les histoires vivent. Découvrez maintenant