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"ROWAN!"
"Vasy cours cours!" Dit il amuser
"Rowan si on nous attrape, on est mort "

Nous étions tout à fait amuser par la situation.

pendant notre moment de folie sur le piano, nous avons entendus un bruit de claxon

C'était ses parents

Je vous laisse imaginer à quelle point la tension sexuelle était redescendue pour laisser place à de l'amusement total.

Je suis descendue de ce piano vite fait bien fait avant de courir hors de son salon, Rowan sur mes talons.

« Pourquoi tu cours? Tu ne veux pas rencontrer mes parents ? » dit-il en saisissant mon fessier
Je me suis tournée vers lui quelques secondes avant de courir encore plus vite
un grand sourire au lèvres.

Je pris la route des escaliers complètement nu

Nu comme des verres

J'enforcha les escaliers toute en remplissant la pièce de mon rire, fin de nos rires. Je vous avouerai que dire qu'on étaient amusés n'était pas un mot assez fort pour expliquer notre états d'esprit, nous étions en plein euphorie

Entrain d'essayer d'échapper à ses parents

Honnêtement, je ne crois pas qu'ils soupçonnait ma présence ici, je crois plus que vu notre départ brusque de chez Anna ils se sont demandées pourquoi leur fils a mit les voils sans prévenir

Une part de moi n'arrête pas de se demander si effectivement ses parents nous attrapaient qu'est-ce qu'il allait bien dire ?

C'est parents sont-ils racistes ?

un petit stop s'imposa dans sa chambre d'amis pour récupérer le peu d'habits que nous pouvions récupérer avant de filer jusqu'au parking souterrain

Essayant tant bien que mal de s'habiller par la même occasion.
Je crois que ce soir était le soir le plus fou de toute ma vie

Ah ouais cocotte c'est comme ça que les bourges s'amusent

Bouffe gratuite, luxe, folie et surtout beaucoup d'intensité

D'insister sexuelle

Arrivée à son parking, il récupére une clé et c'est reparti pour un tour

On partait de chez lui tel de vrai bandit

" plus jamais sur ce piano, enfaite plus jamais chez toi"

Mon sourire pouvait très bien exprimer à quelle point je ne pensais pas un seul mot de ce que je venais de dire

« Ne soit pas bête, il y'a encore plein de pièce chez moi qui vont te voir nu "

Je souris

Comment est ce que je suis arrivée à un stade où ces remarques déplacés me font un tel effet ?

Claudine nous sommes entrain de nous perdre. On se noie dans se bourges

"Ou est ce qu'on vas?"
Ma mains ce posa sur sa cuisse en guises d'affection

" je pourrais arrêter cette voiture et continuer à te faire tout ce que j'avais en tête il y'a quelques minutes mais je crois que pour toi princesse, la soirée est finit"

Un sourire arborait son visage mais

Le miens disparu à la minute où ses mots sont tombés sur moi tel un prédateur devant ses proies

En l'occurrence: j'étais la proie
Et lui; le prédateur

Le plus drôle c'est qu'en l'espace d'un instant, j'ai oublié que tout ce ci n'étais qu'une chasse

HardOù les histoires vivent. Découvrez maintenant