chapitre I

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Il était 3 heurs du matin , tout était calme, pas un bruit ne venait troubler le silence de la nuit. Quand une ombre sortie d'une petite ruelles très étroite et sombre avançait difficilement vers le parvis de la petite église qui se trouvait sur la place. C'était un homme d'une vingtaine d'années, qui tenait dans ses bras un grand panier, cet homme portait un costume médiéval, comme si il sortait d'un bal costumé.
Il avança encore plus difficilement, et arriver sur les marche de l église, il s'écroula sur le sol.
On entendit un pleur sortir du panier, un cri de bébé.
L homme se releva avec difficulté en laissant une grande flaque foncé sur les pavés de la rue. Il posa le bébé devant la porte de l'église, et mis quelque chose dans le panier puis il embrassa le bébé et avec une voie remplis de larmes et d'émotion il dis :
- Adieu ma fille, tu as été ma plus grande joie mais aujourd'hui papa et maman vont partir pour toujours mais nous nous reverrons dans un autre monde je te le promet et nous serons toujours dans ton coeur !
Alors adieu ma puce je t aime fort, très fort, et maman aussi t'aime très fort .
Et il reparti de la ou il était venu.
30 min plus tard la petite fille du panier se mis a pleurer et une vieille femme alerté par les cris descendit dans la rue. Quand elle vue le panier elle le pris dans ses bras et alla toqué aux portes du couvent qui se situait à côté de l église.

Une soeur petite et un peu potelé arriva pour ouvrir la lourde porte de l'orphelinat

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Une soeur petite et un peu potelé arriva pour ouvrir la lourde porte de l'orphelinat. Elle fut surprise de trouver a cette heure de la nuit une vielle femme avec une bébé dans les bras, celle-ci lui expliqua la situation. Après de nombreuses interrogations venant de la soeur, elle remercia la vielle dame et pris le panier avant de refermer la porte.
Elle posa le panier sur la table, et sortie les objets qui se trouvaient dedans et pris la petite fille dans ses bras, ce n'était pas la première fois qu'on apporter des enfants aussi jeune dans l'orphelinat. La soeur regarda ce nourrisson qui dormais paisiblement. Elle vis une petite chaîne en or avec au bout une médaille de baptêmes, elle la retourna et lu l inscription gravé en italique dessus :

Clotilde
01. 05. 2000.

Elle avait les cheveux marrons et de très grosses joue tout à l'heure elle avait aperçu ses grands yeux vert entouré de long cils noirs.
Elle alla poser la petite dans un petit lit qui se situaient au fond du dortoir des autres enfants.
Quand la soeur allais partir elle sentie quelque chose tirer sa robe elle se retourna et vis un petit garçon de 1 ans et demi qui la regarder avec de grands yeux interrogateur.
Elle lui fit signe de se taire et d aller se recoucher. C'est à ce moment que Clotilde se reveilla elle allait se mettre à pleurer quand le petit garçon se pencha sur son lit et lui fit un petit bisous sur le front et la petite fille se calma et se rendormi
- Merci Benoît ! Maintenant vas te coucher.
Le petit garçon qui se frotter les yeux ne se fit pas prier deux foie et alla directement se coucher.
La soeur sortie et pris les affaires qui était dans le panier et les mis dans le bureau de la mère supérieur et alla se coucher.

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18 ans plus tard...

Je me suis levée ce matin de très bonne humeur, la soeur qui est venu pour me réveiller n'a pas compris pourquoi j était déjà debout alors qu a l'ordinaire je râle pour sortir de mon lit. Je me suis rapidement habillé avec mon uniforme (il est hideux) et je descend en courant aider les soeurs qui préparent le petit déjeuner pour les enfants de l orphelinat.
Sur le chemin je croise Benoît sans ralentir ma cours je le salut et commence à descendre les escaliers quand je sens une main attraper mon poignet et me ramener en arrière.
- Bonjour petite soeur ! Tu n aurait pas oublier quelques choses par hasard ?
- Si mais la je suis pressée !
Je lui fais un bisous sur la joue et je m'apprête à répartir quand je vois qu'il ne m'a toujours pas relâcher le poignet.
- S'te plaît Benoît il faut que j'y aille !
- Attend j'ai une surprise pour toi ! Ferme les yeux !
- Oui mais dépêche toi !
- 1,2,3... va y ouvre les !
Quand je les ouvre je vois qu'il tient dans ses mains un gros paquet cadeaux.
- Joyeux anniversaire petite soeur !
- Ah je suis trop contente que tu y es pensé ! Mais tu sais tu n était pas obligé.
- Bah si quand même c'est pas tous les jours qu'on fête ses 18 ans. Mais si tu es pressé, vas y je vais le mettre dans ta chambre.
- Merci tu es parfait grand frère.
Avant de partir je le sert très fort dans mes bras et commence à dévalé les escaliers. Je repense à Benoît, jeune homme de 19 et demi, très grand avec le teint mate les yeux marrons et les cheveux lisses marrons aussi. Je dois dire qu'il est plutôt mignon! D'après soeur Anyèce nous sommes amis depuis que je suis arrivé ici , il a toujours veiller sur moi c'est pourquoi nous avons décidé de devenir frère et soeur. Normalement après son lycée ici il devait partir travailler,il avait 18 ans, il n'était pas obligé de rester ici mais il ne voulait pas partir sans moi alors la mère supérieur l a engagé comme jardinier. Arrivée devant la cuisine, je toque à la porte mais personne ne répond. Bizarre ! J'ouvre tout doucement la porte mais la pièce baigne dans l'obscurité. J'appuie sur le bouton pour allumer la lumière, je suis toujours dos à la cuisine et je sens un regard intense fixé sur moi, je me retourne tout doucement, et je m aperçoit avec surprise que toutes les soeurs du couvent sont là avec un gros gâteau.
- JOYEUX ANNIVERSAIRE !
Elles sont trop gentilles, je m approche et je souffle mes bougies. Je remercie chaques une des soeurs avant de préparer le petit-déjeuner.
Soeur Marie Céline: Clotilde, mère Sophie aimerais vous voir dans son bureau.
Oula! Quand la mère supérieur veux nous voir ce n'est pas toujours bon signe. J'arrive devant son bureau, la porte et déjà ouverte, je rentre la tête et je vois où est la mère, elle est assise à son bureau.
- Viens, entre Clotilde.
- Bonjour ma Mère.
- C aujourd'hui ton 18 ème anniversaire et j'ai quelque chose pour toi.
Elle sort de son tiroirs une enveloppe et une très très vielle montre avec plein de boutons partout. Elle me les donne tout les deux et me dit :
- Ces objets se trouver dans ton panier quand on amener ici avec un mot disant de te les données qu a tes 18 ans .
J'ai remercié la mère et je suis parti dans ma chambre. J'étais vraiment très perturbé, et je n'osais pas ouvrir l enveloppe. Je m assis sur mon lit et puis je réfléchis. Je vois que le cadeau de Benoît est posé sur ma table de nuit , je pose la montre et l enveloppe et ouvre son cadeau. C'est un livre de Juliette Benzoni et j'adore ses romans qui mélange histoire et fiction. En plus c'est sur l'époque que je préfère celle de Louis XIV! Bon il faut que je me concentre sur la lettre et la montre qui sont vraiment bizarres. La montre  a trois boutons au lieux d'un. Je l ouvre et il y a gravé en lettre d or :

Tu es le
Maître du temps

Vraiment bizarre, de plus en plus bizarre...
Je prends l enveloppe, je l ouvre et je m'apprête à la lire quand on toque à la porte ...




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Le Sablier De AmallowsOù les histoires vivent. Découvrez maintenant