🐺Chapitre 12🐺

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Alpha: alors ?
Bêta1 : il ne m'a pas reconnu. Je pourrais le surveiller sans crainte.
Alpha: parfais, tu as des infos sur leur programme pour la pleine lune ?
Bêta1 : ils ont dit qu'il irait chez leur chef de meute. Je propose que ce soit l'autre fainéant qu'y aille les surveiller, en pointant le bêta 2 du doigt.
Bêta2 : et ! Je ne suis pas fainéant !
Bêta 1: oh que si, en lui tirant la langue.

L'Alpha rigole des pitreries de ses bêtas et les laisse se chamailler. Car, en effet, le bêta 2 avait bondi sur la Bêta pour l'attaquer de chatouille. Le troisième bêta, qui jusqu'ici regarda la scène hilare avec son alpha, se joignit joyeusement, à la dispute.

~PDV Stiles~

Derek: stiles, ça va ?
Stiles: oui je suis juste un peu stresser.

En effet, je n'arrêtait pas de me jouer de multiple scène, dans ma tête, tous plus terrible les uns après les autres. M'imaginant dévaster une maison ou même tuer des êtres qui me sont chers. Je ne pouvais que craindre cette partie sombre qu'il y a en moi depuis la morsure, qui, je le sais, va prendre le dessus. Je me demande même si la pièce "spéciale" pourra retenir le monstre qui est en moi, mais au moins, Derek sera là pour m'aider.

Je chasse donc ses images horribles de mon esprit et remet un sourire sur mon visage. Le loup a bien deviné ce qui se passe dans ma tête, alors il me dit calmement en me prenant dans ses bras :

Derek: ne t'inquiète pas stiles, tout va bien se passer j'en suis sûr. On pourrait regarder la télé pour ne pas y penser. Ok ?
Stiles: ok, faisons ça. Mais c'est moi qui choisis la chaîne. En me détachant de Derek.

J'avais dit cette phrase en me jetant sur la télécommande qui était posée sur la table basse. Je me laissai tomber sur le canapé et commençai à zapper les chaînes pour trouver un bon programme.

J'étais bien d'accord avec Derek, je vais m'occuper l'esprit en me concentrant sur un film ou sur mon loup préféré pour oublier le stresse de la pleine lune.

Finalement, nous avons trouvé ma série de films préféré qui n'est autre que Star Wars. Le loup avait sursauté quand j'avais poussé un cri de Victoire quand je vis le titre du film.
Je découvris par la suite que celui-ci n'avait jamais vu ce si légendaire film à mes yeux ! Donc c'est une raison de plus pour le regarder !

Derek, s'installe confortablement à coter de moi. Très vite, il m'attire pour que je sois collé à son torse, entouré de ses bras puissant, et cela ne me déplaît pas.

Les heures passent et le soleil commence à tomber. Je commence petit à petit à somnoler, c'est pourquoi je dis à Derek que je vais dormir à l'étage, dans la chambre d'ami. La fatigue est tellement présente en moi que je loupe la dernière marche de l'escalier. Je me relève et passe l'une des portes qui se présente devant moi.

Je ne fais attention qu'au grand lit double qui est au centre de la pièce et saute dessus pour ensuite m'enrouler dans la couette qui portait le parfum de mon loup. En quelques secondes, je m'endors, bercée par cette délicieuse odeur.

Stiles, la nuit, t'appelle. Rejoins moi. Rejoins ta vraie meute, MAINTENANT !


~PDV Derek~

Je m'étais assoupie devant la télé, quand un bruit me fit revenir à la réalité. Ce bruit était un grondement bestial, qui provenait de l'étage.
Merde, c'est stiles !
Je me précipite dans mes escaliers, mais un autre grondement retentit, me faisait arrêter tout mouvement, car l'hyperactif était tout en haut des marchés. Il se tenait à 4 pattes, près à bondir, tel un animal chassant sa proie. Ses yeux, qui brillaient d'un orange flamboyant et surnaturel, était fixée sur moi.
Derek: stiles, écoute moi. Bien avec moi, et tu seras en sécurité dans la salle blindé, ok ?
Mais Stiles semblait n'en avoir rien à faire, car il hurla, dévoilant des petits crocs bien acéré dans un crie qui n'avait plus rien d'humain, avant de sauter sur moi. Grâce à la vitesse qu'il avait utilisée et tout son poids, je me retrouvai plaquer au sol, avec un stiles transformer juste au-dessus de moi. Lorsqu'il leva une de ses mains griffues, je me dégageait de sa prise et l'envoyait valser à l'autre bout du salon.
On se relève tous les deux et on ne lâche pas du regard notre adversaire, pour gaîté le moindre mouvement. Attendant que l'autre commence le combat.
D'instinct, nous tournons en rond, tel des bêtes sauvages qui allait commencer le combat.
Je ne sais pas pour quelle raison, mais Stiles affiche maintenant un sourire mauvais. Il se colla au mur et éteint la lumière.
Au le petit fumier !
De suite, je fais briller mes yeux, me permettant de voir mon adversaire. Mais le tant que je le localise celui-ci, il se déplace d'une vitesse hallucinante droit sur moi.
Je n'ai pas le temps de l'esquiver, qu'il me lacéra la hanche gauche.
Il répéta cette action, j'en bloque quelques-unes, mais en laisse malheureusement passer la plupart de ses coups. Qui font apparaître de fine ligne rouge, pourtant profonde, sur mon ventre. Je ne peux pas lui faire de mal, c'est toujours le petit humain fragile de la meute après tout, je risque de la blesser si je riposte.
Mais Derek, reprend toi, il n'est plus cet humain fragile, c'est un être surnaturel. Tant pis, il finira bien par guérir.
Stiles allait, une fois de plus ce lancé sur moi pour me lacérer le torse. Je l'évita et attrapa ses poignets pour les bloquer dans son dos, ainsi, il ne pourra plus me lacérer le corps. Je le plaqua fortement contre le mur, pour lui montrer que je ne me laisse plus faire. Mais celui-ci n'en avait rien à faire, alors il se débattit violemment tout en grognant méchamment pour montrer qu'il n'était pas d'accord.
Je jette un coup d'œil à la pièce "spéciale", et vis que je l'avais bien laisser ouverte.
Parfais.
Je lui donne un coup-de-poing sur le côté de son visage, il arrêta tout mouvement, apparemment sonné et un filet de sang apparu au coin de sa bouche. J'ai très peu de temps avant qu'il ne se réveille, alors je le traîne en 4e vitesse jusque dans la pièce réserver pour la pleine lune.
La pièce fait la taille d'une chambre, sauf que les mur en fait d'acier, ou il y a plusieurs marque de griffes. Et qu'il n'y avait aucun meuble, rien de plus qu'un poteau en béton avec une énorme chaîne a ses pieds. J'attache alors l'hyperactif à ce poteau, ai l'aide des chaînes et fermai solidement le gros cadenas. J'hésite un moment, mais je finis par sortir de la salle et je ferme la porte blindé, elle aussi en acier pour ne pas que stiles s'échappe.
Je m'écroule par terre, fatigué d'avoir débattu si longtemps contre quelqu'un qu'il aimait et constate que mes blessures saigne encore et que la cicatrisation n'a même pas débuter. Et merde. Je me lève en aillant une grimace de douleur et part a la salle de bain pour me soigner.
(et de me changer à cause de tout mon hémoglobine sur mon maillot en lambeau) Malheureusement, la seule chose à faire c'est d'attendre. Alors je me réinstalle sur le canapé pour essayer de me détendre et surtout, de guérir.
Je n'avais pas remarquer ce bruit de fond, qui s'entendait à peine sous les hurlements du renard enfermé. Je tournai la tête et remarquai que la télé était encore allumée, mais n'affichait maintenant que les noms des producteurs de ce film. Je n'y prête pas attention et ferme les yeux.

"La bête rusé" a Beacon HillsOù les histoires vivent. Découvrez maintenant