Chapitre Un: M. Plinkter

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Je n'avais pas prévu de tuer le vieil homme, c'était un bon professeur aussi. Quand j'étais à l'école secondaire, dans ma dernière année, j'ai découvert tôt que je n'aurais pas assez de bonnes notes pour obtenir mon diplôme. Tous les examens ont été faits et toutes les notes ont été calculées de sorte que si j'arrive à mon dossier et que je change ma note, personne ne le remarquera. J'avais prévu d'entrer et de le faire un samedi soir pour qu'aucun professeur ne soit là. Mes parents partaient aussi tous les samedis soirs et rentraient à la maison tous les matins après l'église pour ne pas remarquer mon absence. Puis un vendredi soir, je me suis préparé; j'ai mis des gants en plastique jetables, j'ai pris un marteau pour briser la boîte à fusibles avec (pour couper l'alimentation de n'importe quelle caméra vidéo), j'ai acheté un masque de ski pour mon visage, j'ai acheté un couteau que je pourrais jeter si je l'utilisais sur quelqu'un, J'ai acheté une pellicule de plastique au cas où j'aurais du sang sur mes vêtements et j'ai une épingle à cheveux pour crocheter les serrures. Je les ai tous mis dans un sac en plastique. Le lendemain, je me suis faufilé dans l'école. Tout a été très facile; sortez les dossiers, donnez-moi 90 % ou plus dans tous mes cours et sortez en douce. J'ai franchi la plupart des étapes sans problème. La dernière étape a été celle où les choses ont changé. J'étais à environ deux mètres de la sortie quand M. Plinkter est arrivé. "Harrison ?" Il a semblé me reconnaître avec le masque. Je ne pouvais pas le laisser ruiner mon plan donc sans penser que je me balançais, je l'ai poignardé avec le couteau et j'ai passé deux heures à nettoyer et à jeter le corps et le couteau. J'ai ensuite brûlé la couverture de vêtements et les gants. C'est ainsi que mon premier meurtre (qui n'était pas planifié) s'est avéré être l'un des plus faciles. Le lendemain, à ma grande surprise, personne ne m'a soupçonné et personne n'a remarqué que mon dossier avait changé. J'ai obtenu mon diplôme à la fin de l'année et tout allait bien, pendant quelques années.

Harrison Columbus (Francais)Où les histoires vivent. Découvrez maintenant