si tu dois partir,
donnes ton cœur à la science.
on pourrait trouver de quoi ranimer nos sens.
quelques éclats de larmes,
et de la nonchalance.
un peu de pudeur,
et beaucoup d'indécence.dans l'air du temps,
tu te balances.
comme l'eau qui danse,
à contre courant.
tout le monde y pense,
mais personne ne bouge.
à la renverse,
tu t'éprends de la foule.à toi la madone.
je chante la foudre,
pour que tu résonnes,
à l'hymne à l'amour.tu dessines sur les murs,
ce que l'on ne voit pas.
et c'est dans ta nature,
de prendre les gens d'en bas.
j'ai vu notre futur,
rouler entre tes doigts.
et rougir la lune,
quand elle s'adresse à toi.à toi la madone.