Chapitre trois

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Et voici le chapitre 3 !

Merci pour vos lectures et vos reviews qui m'encourage dans le poste de cette fiction particulière à mon cœur, je note vos propositions et je compte bien recontacter les personnes nécéssaire :) ! Nous entamons la première partie de l'enfer qui va à jamais marqué l'esprit de Salazar Serpentard, où quand les humains deviennent plus monstrueux que des bêtes !

ATTENTION : Nous arrivons sur deux chapitre particulièrement cruel, j'ai détaillé sans pour autant rentré dans les détails, des scènes abominable.

Je vous laisse sur cette citation qui laisse à réfléchir :

"Dieu est-il le rêve de l'humanité ? Ce serait trop beau. L'humanité est-elle le rêve de Dieu ? Ce serait abominable."



Attrapé, attaché, séparé et traîné au sol par les cheveux jusqu'à leurs maisons, les deux frères tentèrent en vain de se libéré en criant de douleurs. C'est alors qu'ils virent leurs maisons totalement en feu, les fenêtres explosant sous la chaleur libéré par les flammes, leurs affaires personnelles brûlant avec les serpents dans des sifflements d'agonie, disparaissant en cendre comme le corps sans vie de leurs mère enceinte. Les paysans, rassemblé autour de la maison étaient là, excité par les flammes, la mort et leurs désespoir. Ils riaient, applaudissaient, sifflé le fait qu'ils les aient rattraper. Ils se moquaient d'eux et de leurs souffrances !

Ils furent alors jeté aux pieds de leurs pères qui était dans un sale état, visiblement mis à tabac par tout ces moldus ivre de sauvageries envers les leurs.


- Papa !

- Père !


Se redressant, les deux enfants furent jeter avec violence contre leurs père qui pleurait, les mains attaché dont plusieurs doigts manquaient, faisant coulé un flot important de sang.


-Mes fils...je suis tellement désolé... !


Salazar ne comprenait plus rien, et ne voulait pas comprendre. La peur ayant tout envahis dans son esprit, il vit alors un de ses fameux prêtre, salement amoché, s'avancer et dire à haute voix, tenant dans sa main un livre avec pour titre « Malleus Mareficarum » tout en les condamnant


- Mes amis, mes frères, mes sœurs. L'heure du châtiment à sonné ! Suite à de nombreux témoignages des villageois sur la nature exacte de cette famille, nous avons donc décidé d'intervenir pour cesser ces actes satanique ! En vertu des lois qui me sont donné et au nom de Dieu, je condamne ses 3 âmes damné au châtiment ultime. La purification ! Pendez l'homme pour ce qu'il a fait subir à nos camarades, quant aux enfants, ils iront au bûcher de Cornouailles.

- Quoi ?!


Gabriel fut alors lever de force, faisant paniquer ses deux enfants encore plus quand la corde vint alors s'enrouler autour de son cou. Paniquée , Salazar hurla en Fourchelangue.


- PAPA ! Quelqu'un ! À l'aide ! Vasuki ! Les autres ! Papa ! Pitié sauvez mon père ! Faite quelque chose !

Les Cendres du Monde MagiqueOù les histoires vivent. Découvrez maintenant