Chapitre 16

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J'étais encore en cellule pour je ne sais combien de temps.
Quoi que je dises, ils ne me croyaient pas. La police n'a aucune intelligence, on dirait des gamins qui enquête : toi t'as touché le corp alors c'est toi qu'il l'a tué.
C'est n'importe quoi.

Après cette longue nuit qui était enfaite courte un garde arrivait dans ma cellule.

Garde : Mme.Leblanc aller on se lève
Annie : mmmh
Garde : vous êtes libre
Annie : attendez quoi ? Comment ça je suis libre ?
Garde : vous êtes non coupable
Annie : qu'est ce qui vous a fais changé d'avis ?
Garde : on vous expliquera plus tard

On allait donc au bureau il y avait mon père et Hayley.
Je rentrais et mon père me pris dans ses bras en pleure.

Policière : asseyez vous
Je m'asseyais
Annie : bon alors pourquoi ce changement ?
Policière : Salomé c'est dénoncée
Annie : d'accord
Policière : elle a bien confirmé avoir tué la victime sans aucun aide et qu'elle avait juste besoin de cette aide car elle ne savait pas quoi faire du corp. Elle vous a estimé intelligente pour savoir quoi faire.
Je baissais la tête, ça me faisait du mal. Car au fond c'était une bonne personne malgré notre passé. Elle a tout fais pour me faire partir.

Annie : et Asher ?
Policière : il est libre aussi.
Annie : elle va rester combien de temps ici ?
Policière : 20 ans
Annie : wOw, je peux lui parler.
Policière : 5 minutes, le chronomètre commence maintenant.

J'allais le plus vite à cellule.
Je m'asseyais et la pris dans mes bras. Elle était en pleure.

Annie : Salomé je ne sais pas comment te remercier
Salomé : tu n'as pas à me remercier tu n'as rien fais
Annie : oui mais après tout ce que tu as dis ils m'ont libéré
Salomé : j'ai simplement dis la vérité
Je la prenais dans mes bras
Salomé : annie ?
Annie : oui ?
Salomé. J'ai rompu avec Asher
Annie : hein quoi, pourquoi ?
Salomé : ça va être trop compliqué, je ne veux pas qu'il gâche sa vie à venir me voir ici
Annie : mais vous vous aimiez !
Salomé : pas autant que ça
Annie : je suis désolée
Garde : discussion fini
Je lui faisais un câlin mais le garde me tirais par Le Bras pour que je sorte. Ils nous prennent vraiment pour des chiens ici.
Quelques larmes coulaient sur mon visage et je repartais vers mon père...

To be continued 😪

18 ans pour un avenir Où les histoires vivent. Découvrez maintenant