Luna DonSalvage

Le Monde d'en Haut

Voila, lisant et relisant, je me souviens que je ne vous ai jamais fait part de mon histoire, de l'histoire de ma famille et de ma vie; les DonSalvages viennent d'une famille de noble, très noble, haut rang, d'une ville d'habitant ou rien que de les regarder de travers vous pourrez passez l'arme à gauche. Cette population avec une vie que rien ne leur manque: nourriture a volonté qu'il y a tant et tant de gâchis, de boisson à en devenir ivre, d'activité tout autant luxueux qu'on ne saurait plus quoi faire. 

Les filles ont tant et tant de robe majestueuse, étincelante qu'elles en ont jusqu'à ne plus rien savoir quoi mettre, les hommes ont aussi tant d'affaires qu'ils sont devenu presque aussi maniaque que la gente féminine et les jeunes se comportaient comme de vrai adulte, pas de salissure, pas de gros mots, pas de bagarre devait éclatait dans les rues. 

Commérage, rumeur, bavardage étaient les activités les plus courante, devenant même une compétition. Dans les rues, on ne voyait que très rarement un des membres de la population de cette grande ville de noble et sang pur, seul, il était toujours accompagné d'autres nobles, d'un membre de sa famille ou dans le pire des cas: d'un de ses nombreux esclaves personnels. 

He oui, dans cette magnifique cité, il n'était pas rare de voir des esclaves d'autre ville du bas, car cette cité se trouve en fait, sur la plus haute montagne de ce monde, dans les hauteurs tels des dieux régnant sur le monde que leurs ancêtres leur on laissé. Cette ville ou personne d'autres qu'eux même ont le droit de fouler le sol en toute liberté et sans aucune permission a pour nom: Marijoa. 

Dans toutes ces familles dont le nom commencent tous par des "Don", existe quand même une hiérarchie de sang noble et pure, une compétition pour avoir une descendant avec un pourcentage de sang pur le plus pur et le plus noble qui soit, bien que cela n'affecte en rien les décisions et autres qu'ils leurs aient due de pouvoir faire. 

Je viens donc d'une de ces familles, celles qui vient après la première famille de sang noble les DonPrenium, Je suis donc une des filles de cette famille qui ont l'intention de me faire marié par un des fils de la première famille, cette famille dont je suis issue a pour nom "DonSalvage". Et bizarrement, j'adore ce nom. 

A ma naissance, on m'a nommé Luna, car je suis née un jour de pleine lune dorée et argenté, phénomène très rarissime dont ma famille à cru que c'était un signe d'une grande richesse... Ha si seulement il savait ce que j'étais devenu en temps présent, je crois qu'ils m'auraient noyé dans leur eau bénites pour se faire soi disant pardonner du péché de m'avoir fait voir cette lune magnifique. 

J'avais le teint pâle et des yeux mauve profond, des petits bouts de cheveux à la couleur mauve, avec reflets rouge, bleue et blanc en fonction du reflets de la lumière, j'étais donc un perle rare a conserver dans une petite boite précieuse et manipulé avec des gants de soie. 

On me lavait dans un bain doré avec un gants hyper doux, mon lit avait les barreaux tout aussi en or, mes commodes dorée à souhait. Enfin ils avaient doré ma chambre du sol au plafond tellement qu'ils me considéraient précieuse; d'avantage que mes frères et sœurs qui ont appris a me jalousé à la mode de haut rang. Mépris avec élégance, des rumeurs et des commérages, je sentais qu'ils allaient devenir rapidement les n°1 de cette compétition grotesque à mon gout qui préférais la faible petite nature qu'il y vivait: vivant dans les nuages rare sont les animaux qui viennent perché dans cette petite ville. 

D'ailleurs c'est avec un quelconque artifice qu'ils avaient réussit à amener des arbres et de l'herbe pour créer de magnifique parc ou se promener. Jusqu'à mes 5 ans, je n'avais pas le droit de sortir, même sur le balcon de ma chambre, évidement vous avez compris que mes cher parents ont pris la peine de le faire en or aussi, cela allait de soi. Il fallait montré a toute la ville que j'étais la perle rare qu'il fallait convoité, convoitise de tout regard. 

Quand je pouvais sortir, accompagné de ma très chère mère, avec ironie je vous prie, elle m'habillait avec élégance de petite robe a paillette... doré, avec une ceinture en soie... Dorée, un petit chapeau blanc avec un nœud.... dorée. Il fallait qu'au simple regard de passant, que ma mère voit dans leurs yeux, cette convoitise. 

J'ai ainsi, par la même occasion, commencer à détester tout ce qui était fait d'or et de jaune dorée, j'en faisait vraiment une overdose,imaginer, tout ce que vous voyez dans votre décor c'était de l'or, ce métal précieux qui étincelle de partout et qui fait naître de la convoitise de la part de tous; on me regardait avec envie, on aurait même envie de me toucher de leur main tellement qu'on étincelait de ce métal éblouissant. C'était effrayant mais surtout dégoûtant pour moi de me sentir aussi regardé intensément, comme une chose a voler et à me mettre a nu avec leur yeux globuleux.

Je n'aimais pas forcément cette vie de gosse, j'avais aucun droit de m'amuser, a part m'asseoir et m'inventer une vie a travers de petite poupée habillé... en or. Je les avais laissé de côté au bout du moment et quémandait sans cesse de quoi dessiner tout ce que je voyais. Finalement, je réussis a avoir un beau carnet de dessin et un crayon gris... en or. 

Mais c'était mieux que rien, en tout cas, le crayon ne dessinait pas dans cette couleur orifique. (nouveau mot mélangeant Or et Horrifique). 

Je ne me doutais pas non plus de mon avenir, je pensais que j'allais finir par m'y habituer comme toute personnes de cette caste, que j'aurai donc le même avenir, le même dévouement que mes parents, de faire perduré ce sang pur, cette air pur, et surtout... de mépriser les gens vivants en bas, m'achetant trente six milles esclaves pour mon simple plaisir allait devenir une chose totalement normale, que en ce temps la, je n'appréciait guère de voir des personnes aux dos cambré d'avoir trop porté leur maître, trop porté les choses lourdes, d'être pris pour des larbins sans cœur et sans âme, j'avais un "esclave" aussi, un Minks chat, mais en aucun cas je le considérait comme mon esclave, mais comme un ami. Je ne voulais pas qu'il fasse des choses, mais c'était lui qui insister pour m'aider et m'apprendre à le faire toute seule. Mes parents n'étaient pas vraiment content que je ne veuille pas qu'il fasse tout comme les esclaves mais, plutôt comme un majordome. Finalement, ils ont finis par accepter que ce "Minks" dégoûtant pour eux, était spécial pour moi.