Mélodie Douloureuse

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Durant les vacances d'été, je décidais de partir en vacance près de la plage. Une fois arrivé au guichet de l'hôtel, je demandai une chambre. Mais, la jeune femme me regardait de haut en bas, d'un regard inquiet en me demandant si j'étais de la région. Ce que je répondis nan. Alors, elle sortit du guichet pour me diriger vers ma chambre. Une fois entré dans ma chambre, elle se tourna vers moi en énonçant des règles : « Ne sortait pas de votre chambre, après le couvre couvre-feu de la ville de 19h. Une fois le couvre-feu enclenchait, vous fermez votre fenêtre avec ce bouton, et ne l’ouvrait pas avant qu'on vienne taper à votre porte. Si vous entendez chanter, n’écouter pas, voici de la cire pour ne pas entendre. ». Puis, la jeune femme tourna à 180° pour finir par partir de la chambre. Elle est très bizarre, mais ce n'est pas un couvre-feu qui va m’empêcher de me faire peur. Il est 16h, j'ai encore 3h pour aller dehors, je devrais faire un tour près de la plage. Une fois être arrivait sur la plage, je me mis en quête de chercher un bon endroit pour me poser, je vis alors un rocher près de la rive, je décidai de nager jusqu’à l'atteindre pour m'y poser. Une fois arriver, je commençais à me mettre en maillot de bain, quand je sens des regards glaçants me transpercer, je me retournai alors, et je vis des passant qui me regardait comme si j'avais commis un meurtre. Ni une ni deux, je décidais de plonger dans l'eau pour nager, le temps passa. Je regardais mon téléphone, et je vis l'heure, il était 18h57. Le temps est passé à une vitesse. Je voyais les personnes qui se m’étaient à courir pour rentrer chez eux. Je regardais vers la mer en me dépêchant, je vis alors un ciel très noir, je n'avais jamais vu un ciel aussi noir, arrivait dans notre direction. Je me précipitait d'aller à l’hôtel, une fois arrivé à l’hôtel, je ne vis personnes, pas un chat à l’accueil. J'entendis le couvre-feu retentir, alors je me précipita d'aller dans ma chambre, pour finir par fermer la fenêtre. Puis, je me mis à chercher la cire, mais je ne la trouvais pas. Alors j’utilisais du savon. Avant même que je mis le savon, un règne de silence de mort régnait dans l’hôtel. Jusqu’à ce que j'entende des pas, alors je mis du savon dans mes oreilles. Mais j'ai beau avoir mis beaucoup de savons, j’entendais toujours. Quand soudain, une mélodie en provenance des couloirs, fit son apparition. Cette mélodie m’obligeait à me diriger vers le couloir, ni une ni deux, j'ouvris ma port, et vis une femme de dos, avec de long cheveux aussi noires qu'un café de Toussaint. Elle portait une robe, elle était de dos. Elle chansonnait une mélodie, et fini par se retourner vers moi, elle ouvrit les yeux quelques secondes plus tard. Ses yeux étaient rouges sangs, en reculant je tomba parterre, je me relevais et me mis à courir pour me diriger vers la plage, j'y avais vu un phare. Une fois arrivé sur la plage, j’essayais d’ouvrir la port du phare,  mais elle ne s'ouvrait pas, je vis la femme se dirigeait vers moi avec une torche. Mais heureusement plusieurs grandes vagues ont submergées le chemin qui donnait au phare. Malheureusement le phare finit par devenir une île à cause des vagues. Je finis par me diriger vers le rebord de l’île, à cause de la brume, je ne percevais ni la plage, ni le village. Quand soudain des femmes dans l'eau arrivaient vers moi. Elles étaient belles. Je sortis mon téléphone pour les voir avec la lampe, je vis alors dans l’eau grâce à la lampe, des queues à la place de leurs jambes, elles étaient des sirènes. Puis soudain, elles ont commencées à chanter. « L'amour a percé mon cœur, et l'argent ne fait  pas le bonheur, mais j'attends un être charmeur, mon marin riche et sans peurs. Au, mes sœurs approchaient, vous qui aimaient les marins sans peurs, et l'amour a perçait son cœur ». Leurs voix m’obligea, contre ma volonté à me diriger vers l'une d'entre-elles. Je me rapprocha pour l’embrasser, alors elle saisissait ma tête en continuant de chantée, tout en la rapprochant de l’eau, même en quand elle était sous l'eau je continuais d'entendre leurs voix angéliques. « Mais j'attends un être charmeur, mon marin riche et sans peurs ». La sirène m’emmena dans l'eau de manière sauvage, ses sœurs la rejoigne, je sentais que leurs mains me transperçaient. J'avais beau essayer de hurler je n'y arrivais pas, je ne fessais qu'une chose, chanter pendant qu'elles me dévoraient. Le lendemain, on pouvait voir mon corps sur la rive, sans yeux, ni langue. On avait pompé tout mon sang. Au moment de la découverte, le brouillard ainsi que le ciel noire et les chants disparaissaient, pour laisser place à la peur de la découverte de mon cadavre de marin.

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⏰ Dernière mise à jour : Jul 05, 2019 ⏰

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