J'ai besoins de toi là, toi derrière ton écran qui vas m'écouter.
J'ai 16 ans et tellement un mal si tuant dans mon coeur.
J'ai été brisé, abandonnée, violer on m'as briser en milliards de morceaux et vous savez quoi ? Je suis encore là mon dieu, encore là mais j'ai tellement mal!
A 13 ans j'ai perdue mon amie, par une satanée grippe, je me suis sentis anéanti de ne pas pouvoir faire quelque chose à par pleurer, je me suis mise en tête de vivre pour elle, d'avoir une vie magique pour elle mais si j'en suis là c'est que ça n'a pas tellement marcher.
Dès le collège et la perte de mon amie j'ai changer, mon caractère à changer, au lieu d'être une jeune fille heureuse, sans problèmes, toujours avec le sourire j'ai finis par être une fille triste tout simplement, après cette perte j'ai trouvé un copain mon tout premier qui m'as ruiné la vie qui m'as fais devenir quelqu'un que jamais je n'aurais penser être un jour, ce gars là ? Il m'as forcer à faire ma première fois, toute ma vie je lui en voudrais de m'avoir détruit cette étape si importante de la vie, c'était dur, je pleurais énormément j'avais tellement mal chaque fois qu'il entrait en moi je ne sais combien de larmes coulaient c'était anéantissant à chaque fois je pensais que c'était ça l'amour et puis non quelques mois après il m'as laisser je me sentais bête tout simplement de n'avoir rien dis, rien du tout.
Quelques années après j'ai rencontré un garçon qui lui m'as changer la vie, m'as appris à aimer, à prendre le temps, à me donner des frissons, à me faire rire, à m'aider à avancer, c'était clairement la personne que j'avais le plus aimer dans ce monde mais un bonheur ne dure jamais assez longtemps dans mon cas en tout cas, sa famille m'adorait, j'adorais sa famille tout se passait à merveille puis il commençait à me parler mal, à me frapper, à me traiter comme une chienne, j'étais juste là pour être là, il n'avait plus besoins de moi j'étais juste un meuble dans sa chambre sur lequel il trouvait le moyen de se défouler et vous savez ce que j'ai fais ? Je suis rester, je me suis battue à m'en tuer le moral, je l'aimais tant je ne me voyais plus sans lui, plus du tout, il m'étais devenu indispensable, jusqu'au jour où il m'as montrer à quel point il ne m'aimais plus en me rabaissant devant tout le monde, en rentrant à trois heures du matin défoncer et en m'attrapant par le poignet sans me lâcher.
Ça a été la période la plus dur à affronter, se dire qu'il fallait rester parce qu'il pouvait redevenir comme avant mais subir tant de mauvaises choses c'était la vie que j'avais décider de mener.
Je vous avoue que ce n'étais pas si facile, j'ai d'ailleurs commencer à fumer des cigarettes à cette époque là, une cigarette puis deux puis un paquet par jour.
Ensuite à été l'heure du canabis, juste un joint le soir lui et moi qui nous détendais.
Et puis ça a continuer ça devenait de moins en moins supportable de jour en jour, chaque minute étais plus douloureuse que l'autre j'avais tellement mal de le perdre et puis un jour j'ai décider d'arrêter de me battre, alors je suis partie c'était la première fois que j'avais fais une chose bien, mais j'étais tellement dévasté, tellement perdue, je ne vivais que de sanglots et d'alcool jusqu'au jour où ma mère a trouver les bouteilles et m'as sauvé clairement la vie elle m'as montrer que je n'en avais pas besoins qu'il fallait affronter ça avec plus de courage ce que j'ai essayer de faire.
Ensuite mr le canabis est revenu dans ma vie mais cette fois seule, tous les jours, tout le temps.
Je me suis retrouvé avec un garçon dans une chambre à me frotter à lui alors que en aucun cas je n'étais comme ça, je disais que c'était pour me changer les idées, puis un deuxième sans jamais rien se passer de fou mais c'était déjà du grand n'importe quoi.
Ensuite je me suis mise vraiment sérieusement avec un garçon qui n'es pas rester très longtemps par rapport à mes crises de « tu ne vas pas en boîte! » « on se vois ? » « on se vois? » « allez steplait », la solitude rien d'une nuit me tuait je ne pouvais pas être seule une seule fois c'était beaucoup trop dur.
Avec ce manque de confiance, cette peur d'être seule je me suis retrouver vraiment seule à partir de ce moment là, le shit a été mon seul ami, puis j'ai commencé à sortir, aller en boîte, boire, fumer, routine de tous les week-ends.
Et c'est là que tout étais si vide, j'étais vide, sans aucune émotions, tellement heureuse quand je fumais mais tellement triste le lendemain au réveil mais je ne pleurais plus du tout, pas une seule larme et puis ce jour est arrivé, le pire de toute ma vie.
On partait en boîte comme d'habitude, cette fois un peu plus avec l'envie de boire, les verres se sont enchaînés, j'ai embrassé deux garçons et un de ses deux garçons m'as causé plus de problèmes, plus consciente sur les fauteuils, voyant trouble, ayant pleins de trous noirs, ayant accepter de rentrer chez lui j'ai finis dans son lit, tout commençais doucement et puis il m'as demander de me retourner, j'ai refusé et puis il m'as dis « c'est rien allez t'inquiète fais moi confiance » j'ai encore refusé c'était la chose que jamais je ne me serais vue faire, cette chose étais là chose là plus horrible à mes yeux, puis ça a continué il m'as retourné, c'était rien hein ? c'était mignon ? Non ? Puis la douleur n'est même pas venue, je ne parlais pas je me noyait dans ma peine, j'étais perdue sans personne pour m'aider, crier ? impossible.
Alors je n'ai rien dis et ça a continuer, plus il continuait plus je ne ressentais plus rien.
Il a ensuite arrêter j'ai été consentante pour tout mais ça c'était beaucoup trop pour moi.
Je me suis endormie et le lendemain il m'as ramener chez moi, je ne parlais pas, je ne le regardais pas je n'avais qu'une envie prendre une douche.
Il m'as dis de ne rien dire ce que j'ai fait, je suis rentrée me suis mise assis par terre dans ma douche, l'eau chaude coulait sur ma peau et petit à petit depuis longtemps je me suis effondrer.. et vous savez quel est le pire ? C'est que je m'en voulais à moi.
Après ma douche je suis aller me coucher et me suis endormie en pleurant, le réveil à été le plus dur, le plus cruel, retour à la réalité.
J'ai garder ce secret pendant un bon moment puis j'en ai parler à un ami à moi mais c'était dur de se confier à lui puisque c'était un garçon et non une fille.