Hey. Désolé pour ce changement brutal qui va de l'euphorie à un sujet pas très marrant à aborder...mais il est important d'en parler parce qu'elle est présente dans mon cœur depuis un tiers de ma vie. Si vous n'aimez pas les sujets déprimants, sombre et trop sérieux ce chapitre n'est pas pour vous. Je vous préviens ça risque d'être très très très très très très très très long, et y'aura quasiment aucune...blague ou ironie. Nan là on part sur du confession intime.
Bref.
Je vous est fais un bref résumé lors de la présentation, certes, mais on va revenir la dessus et en approfondissant le sujet.
Tout à commencer en CM2 lorsque que ma vie allait tout juste commencer à rentrer dans le monde des ados. J'avais un petit ami. (Ce détail aura sa petite importance) qu'on va nommer pour les intimes: Léon.
A cette période j'étais une énorme fan, (et d'ailleurs je le suis encore un peu) du jeu, "Yandere simulator". Jeu vidéo ou tu incarnes une étudiante japonaise qui tue ses rivales essayant de lui voler le garçon qu'elle aime. Donc un jeu de psychopathe ou tu pouvais les tuer, brûler leurs cadavres, les torturer, les kidnappées, les poussées dans le vide, les poussées au suicide, les électrocutées , les poignardées, les démembrées etc...) pour une raison ou d'une autre, j'aimais énormément ce jeu et faut croire que je voulais faire pareil... Une fille était amie avec Léon et lui tournais autour, j'étais extrêmement jalouse et je me souviens avoir nourris une profonde haine envers elle, au point ou je voulais la tuer. Littéralement la tuer. Je m'imaginais caché son cadavre, la planter dans tel ou tel lieu, avec telle ou telle arme, bref la totale. A 9 ans. Je l'ai détesté pendant près d'un an. Ça c'est la première partit qui m'a fait aimer les choses morbides.
La deuxième vous la connaissez, il s'agit de la mort de mon grand-père. J'avais déjà assisté à un enterrement, celui de mon arrière grand-père que je n'avais vu qu'a l'âge de 2 ou 3 ans. Mais le fait que je connaisse mon grand-père, que je me souvienne de sa voix, de son visage, des rares fois ou je lui ai parlés, à changé l'importance de l'âme que l'on venait de m'arracher. Et de le voir à l'hôpital puis le voir finalement décédé, dans le cercueil, tout pâle, yeux et bouche fermés m'a montré à quel point la mort était...triste et cruelle.
Cela peut paraître irrespectueux de parler de la mort d'un de mes proches de cette manière, moi même ça me perturbe un peu... mais je pense que tant que je préserve son anonymat et je que décrit seulement le sentiments et les conséquences de tel ou tel détails ça n'est pas si irrespectueux à son égard. Du moins j'imagine...après tout c'est ma façon de m'exprimer. Mais bon... si vous trouvez que c'est irrespectueux, impoli, et trop dégradant comme "description" dites le moi, je supprimerais cette partit la.
Tout ça pour dire que cela m'a laissé des séquelles. Ma fragilité mentale avait pris beaucoup faut croire. Suite à cela j'ai commencé à sombré dans la dépression, à atteindre une personnalité pourrais t-on dire: antisociale ou insociable ?
Je ne voulait plus parler à personne, renfermer sur moi-même, à opter pour des manières...bizarres, je me mettais à l'intérieur du bâtiment lors des récréations à me cacher, à écrire uniquement dans mon journal intime et à penser les yeux fermés en me mettant en PLS. Les professeurs et mes amies me cherchaient et je continuait à les fuirent, à me cacher, ce qui à commencer à les inquiéter. Je ne sais ce qui c'est passé dans mon cerveau dans ces moments pour que je commence à aimer et à croire aux esprits du jour au lendemain. Je suppose que je voulais communiquer avec mon grand-père et avec Satan par la même occasion. Oui parce que (encore une fois) je suppose, et je précise bien je suppose, que je devais voir ce déroulement tragique comme une malédiction, c'est tout à fait dans mon genre... Ce déroulement a poursuivit avec de multiple envie de suicide.
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Rantbook : Mon Esprit torturé
Teen FictionCeci est un rantbook, de moi..... bizarre comme disent les autres. Je partage ici mes idées, mes avis, mes pensées, mes passions et mes goûts. Comme une sorte de défouloir, de journal virtuel.