Des tas de problème , des tas de question j'écris des tas de chose sans vraiment de raison mais qui à raison ? j'ai perdu la raison.
J'divague sur un radeau sur la rivière du souvenir charger d'un sac à dos et d'un vieux rêve à en devenir. Perdu aux milieux des flots, j'me rappelle ces rires, ces yeux sous un bandeau, voir les fleurs fleurirent.
Un beaux tableau couleurs chaude, l'espoir en trône sur mes épaules. Le vent freine par fois ou qu'il est. un maquillage d'éteint sur des plages de satin.
Une chanson mineur, j'les vois jouer du piano. J'n'ai pas peur de m'envoler tout la haut, liberté altitude. T'es pris un pauvre filet. Pauvre passion endormie, respirer juste un peu trop et je me laisse divagué sur un radeau.Des tas de problème , des tas de question j'écris des tas de chose sans vraiment de raison mais qui à raison ? j'ai perdu la raison.
C'est putain de bon de se sentir décrocher de se sentir enfin à l'horizon loin de se monde carrer ou tout tourne en rond les anges en démon, les pantalon bien repasser, des carnets bien remplie, j'ai tout mit de coté loin de cette pluie.
J'me pose tellement de question que j'en tremble. Je passe moins de temps à écrire un son que ranger ma chambre alors j'écris un son et je me laisse aller...
Le Népal une passion.
Et je revois, j'revois toute ma vie.. toutes ses fêtes... Toutes ses prises de tête, mes amis les allumettes, les mauvaises coupe, tous ses gens qui disent "arrête" j'refait le vol de ma vie j'vois déjà tout le scénario. J'm'écrie une parodie un truc moins bateau, genre il était une fois les enfants à la fin, les j'ne sais pas , on sait qu'on lâchera rien, du coup tout est écrit faut savoir le lire, je te vois dans mes nuits fais moi un sourire, tu sais ce qui nous faut ce qui nous faudra. On veux pas être "peut-ont", on veux on "sera ".
Putain, un breton et un angevin qu'es qu'on parait con aux milieux de tout ses Parisien. Dis moi quand es que ce radeau nous emmène à la capital. quand es qu'on verra chanté du "silo" par des mecs du front national . Dis moi les yeux à l'horizon. dis moi, dis moi qui à raison.... qui à raison ????
Et j'divague comme l'aire, comme la musique dans la chambre de ses enfants. comme les balles sur un terrain terre. comme ces mots sur ses bouquin bien chiant.