Quand nos ciels s'embrasent

Quand des réponses amènent des questions

Il y avait une petite chose la devant mes yeux .Non je suis encore dans un rêve, je rêve que je me suis presque transformé en glace que j'ai outrepassé la seul règles que l'on m'a jamais demandé de respecté et qu'il y est un être plus petit que ma main devant mes yeux.

Je retire tout doucement mes mains de devant mon visage, prête à les remettre au cas où la réalité ne me plairait pas.

« - Allez c'est bon, il va vraiment finir par ce vexer si tu continues ton cinéma ! »

Je crois qu'il y a une petite larme qui coule. Ce n'est pas contre eux mais quand je pense à ce que j'ai fait, je ne peux m'empêcher de vouloir pleurer comme Alice et comme ça je pourrais me noyer dans mes propres larmes et l'enfer ne s'abattra pas sur moi.

« -Il ment je comprends très bien que cela puisse être choquant pour n'importe qui de ce retrouvé face à un monde qu'il ne connait pas. Il râle mais la première fois qu'il m'a vue il n'en menait pas large et lui il n'avait pas failli ce faire geler le corps ! »

Je ne pus m'empêcher d'emmètre un petit rire quand Ulrich ce mis à bouder.

« - Eh bah ca à l'air d'aller mieux. Installer vous mieux dans le canapé, je vais vous faire du thé, et pas de je n'aime pas ça ou autre ça va vous faire du bien vue l'afflux de magie qui viens de ce passer. »Tiqua Ulrich.

Je hochais tout doucement la tête, Magnol, le petit être m'apporta un plaid, je fus étonner de sa grande force, et puis me souviens que de toute façons il vole, il parle et il existe alors il n'y rien d'étonnant à ce qu'il fasse autre chose.

« -Buvez tant que c'est chaud, maintenant vous allez m'expliquer la partie de l'histoire que vous racontez pas au gens, celle qui fait que vous avez un tatouage qui sert de régulateur d'aura. Et peut-être que sur un malentendu, on vous laissera partir. »

Je ne sais pas si il rigolait mais je pense que pour une fois je pouvais vider mon sac, le mal était fait, je n'avais pas vraiment le choix, et puis la volonté de fuir était partie maintenant.

J'avais plutôt une impression de paix, comme si tout ce qui c'était passer devait ce passer et que bien qu'ils représentent encore un mystère à mes yeux, je me devais d'être là.

Ulrich c'était assis dans son fauteuil, il paraissait si majestueux comme cela, Magnol s'installa sur son épaule, tous les deux attentifs.

C'était peut-être le thé qui me faisait me sentir en confiance, il était très bon. Je pris une dernière gorgé, et commença mon récit :

« Comme je vous l'ai dit c'est pas une prophétie ou autre chose. Je devais avoir cinq-six ans quand on me l'a fait, j'étais consciente et ma mère m'a toujours assurer que c'était moi qui avait choisis cette solution et que j'étais parfaitement lucide. Mais qu'elle enfant est lucide à cet âge-là ? Enfin voilà je me suis retrouvé avec un lotus sur le ventre. A l'époque il était vraiment minuscule, pour vous dire ça ne devais pas être plus grand que mon ongles de petit doigts. C'était la sécurité maximale. Je ne pouvais rien faire, je devais rester tout le temps dans la même pièce sans aura on ne vous voit pas et c'est à peine si on vous entend.

Ça m'a fait un choc réellement, je ne savais plus qui j'étais de la petite fille turbulente j'étais comme drogué, et presque oublié. Même moi je ne sentais même plus ma propre présence, je me faisais peur.

Ce n'ai pas mère qui déverrouilla un peu le sceaux. Ce n'est pas qu'elle ne m'aimait pas, mais elle avait peur de moi, peur de mes accès de colère, peur que même avec le peux d'aura que j'avais je puisse lui faire du mal. Mon oncle était bouddhiste il m'apprit la méditation. Il me l'apprit et avec la gestion de la colère. C'était la seule condition pour que je puisse retrouver un semblant de vie normal.
Une heure par jour, tous les jours, je devais méditer simplement sur la colère. L'idée c'était de l'extérioriser... Sauf que je ne faisais pas de sport comme en règles général cela se passe. Ma mère y était vivement opposée. Je n'ai su que plus tard pourquoi et ça ne m'a pas aidé.