Moment de Parenthèse, de glace à mer. (Yuri on ice)

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La mer Grecque me lèche les pieds, le soleil color ma peau pâle, la chaleur est accablante bref c'est les vacances les premières depuis fort longtemps
. Viktor et Yuri sont à quelques mètres de là tantôt riants comme des andouilles tantôt se mangeant les amygdales ce que je trouve particulièrement dérangent.
Ce n'est pas la première fois que je pars en vacances avec eux et même si je préfère patiner sur les mains que de l'avouer à voix haute je les trouve vraiment beaux tous les deux, un amour pur, sincère, lumineux en clair un amour magnifique que j'ai longtemps envié voire jalouser par moment. Jusqu'au jour où j'ai rencontré Otabek, au début nous étions amis mais, depuis quelques mois nous sommes devenu amants ce qui m'a paru tout naturel sûrement car nous sommes des âmes sœurs tout comme le vieux et Katsudon mais en encore encore plus beaux. Il me tourne le dos trop occupé à caresser les boucles mouillés et puantes du gros Makkachin qui savourer le contact avec délectation.
Mes yeux ce fixèrent sur lui et je ne put les détourner, bien que je connaisse déjà son corps par cœur je le trouve toujours aussi beau. J'étais perdu dans ma contemplation quand je reçu une gerbe d'eau dans la gueule de la part de celui que je considère comme un frère. Évidemment la riposte est immédiate et la guerre fut déclarée sous les yeux amusés de nos moitiés respectives. Après plusieurs longues minutes Viktor déclara match nul et même s'il est évident que j'ai gagné je pris la sage décision de ne pas relevé préférant aller me blottir dans les bras de mon beau prince Kazakh qui me murmura des mots tendres à l'oreille. C'est plusieurs heures plus tard que nous prenons la décision de rentrer à l'hôtel tremper, frigorifier par la fraîcheur de l'eau mais heureux.

Minuit sonne à peine que nous sortons de l'hôtel peignoirs en main et simplement vêtu d'un bermuda et d'un t-shirt. Il n'y avait pratiquement personne dehors, tous les commerces étaient fermé et seul quelques fast-foods briller encore dans les rues. Nous marchons un moment dans la fraîcheur de la nuit main dans la main le sourire accrocher aux lèvres et le cœur battant d'excitation jusqu'à arriver dans un point d'eau de mer isolée où il n'y avait ni gens ni bruits et ou seule la lune éclairée la mer ce qui donnait un cadre extraordinaire. Le cœur battant je me tourne vers mon amour et dans un geste presque désespérer il se mit à m'embrasser avant de nous dévêtir doucement prennent grand soin de ne pas me faire peur et de respecter mes limites. Après ça les choses ce firent naturellement et nous partageons une nouvelle nuit d'amour charnel bien que le cadre rende la chose plus plaisante encore, son corps chaud contre le mien créé un contraste exquis avec la froideur de l'eau et la fraîcheur de l'air. Une fois rentré à l'hôtel nous prime une douche rapide avant de nous écrouler sur le lit épuisés.

J'étais en train de m'endormir quand un bruit que je ne connaissais que trop bien ce fis entendre, un moustique, le genre qui me prend comme buffet à volonté tous les ans. J'étais en opérations babouche quand la main d'Otabek se posa sur mon bras m'annoncent que seules les femelles piquer et que seul les mâles font du bruit et que de ce fait je n'avais rien à craindre. Évidemment je ne l'écoute pas et ne me recoucha pas avant de l'avoir sauvagement écrasé ce qui fit râler le "héros du Kazakhstan".

Le lendemain nous nous sommes préparé rapidement pour aller retrouver Yuri et Viktor au restaurant afin de petit déjeuner tous ensemble avant d'aller au parc aquatique, manger Glace, pastèque et autres truc qui se mangent en été bref une journée de vacances normale bien que ce soit la dernière avant la reprise de l'entraînement ce qui je l'avoue me déprime beaucoup. C'est le problème quand on fait de sa passion son métier, tout le monde aime pratiquer ou expliquer sa passion mais personne n'aime travailler. Après avoir profité de la mer une dernière fois nous sommes rentrés à l'hôtel afin de prendre une douche, préparer nos vêtements pour le lendemain, boucler nos valises, manger au restaurant de l'hôtel tous les 4, programmer nos réveilles pour 5h30 puis le plus important...dormir. Une fois coucher et blotti dans les bras de mon bellâtre je m'endormi paisiblement.

Le lendemain le réveil fut difficile mais sachant que je pourrais dormir dans l'avion entre Athènes et Saint-Pétersbourg je ne le plains pas trop préférant regarder une dernière fois la mer par la fenêtre avant de me préparer très rapidement pour ne pas être en retard. L'entraînement de demain sera sûrement compliqué mais pour autant je ne regrette pas ces merveilleuses vacances.

Les petits OSOù les histoires vivent. Découvrez maintenant