Perdue dans le temps

Une visite mouvementée

J'ai toujours aimé les musée, voir des objets qui avait servis à des gens il y a des centaines d années. J'aime me sentir minuscule face a l immensité des gens qui ont vecus avant moi. J'aimerai tant marquer l histoire comme l un d eux, qu on se souvienne de moi même après ma mort. Perdue dans mes pensées, je continuais a marcher dans les couloirs quasiment desert et soudain j'entendis un cri.

- Anna !

Je sursautai et me retourna. C était ma mère qui m appelait. Elle tenait Alex par un bras et Axel par l autre. Mes deux petits frères voulaient aller dans deux directions différentes et ma mère etait au bord de la crise de nerf. Elle me foudroya du regard, je lui avait promis de m'occuper d'eux pendant la sortie au musée.

- J'arrive !

Je m'avancais vers ma mère en trainant les pieds, deçue d'être interrompue dans ma rêverie.

- Tu m'avais promis que tu t'occuperai des jumeaux ! Prends les au moins 10 minutes que je puisse souffler un peu !

A ces mots elle me tendit mes 2 petits frères qui s accrochèrent instantanément à moi et se mirent a sauter autour de moi.

- On veut voir les chevaliers !

- Oui ! Des chevaliers !

Alex et Axel etaient completement fous de chevaliers et passaient leur temps à s'imaginer être ces héros du passé.

- Bon d'accord je vais vous amener voir les chevaliers.

Les 2 petits crièrent de joie et coururent vers la section dediée aux chevaliers. Je les rejoignais en marchant tranquillement, prenant le temps d'admirer les environs.

Soudain je remarquai une ancienne tapisserie noire portant une insigne blanche ressemblant à un cadran d'horloge. Je ne l'avais même jamais vu auparavant. Cependant je m'approchai, intriguée. Je lus la plaquette devant cette tapisserie : "Tapisserie datant du début du XVIIeme siècle retrouvée à Paris", puis remarquai un étrange plis sur celle ci. Je ne voyais personne autour de moi à part mes petits frères prés d'une armure de chevalier et remis donc la tapisserie en place. En la touchant je remarquai un porte derriere celle ci. Ma curiosité l'emporta et je l ouvris. Je n'aurai jamais dû.