Quand le soleil se couche, je dois manger
Quand la nuit se couche, je dois me rendormir
Quand tu es apparu, tu m'as volé
Quand j'ai essayé de reprendre mes mires
Tu m'as tué comme un vulgaire étranger
Ô voleur mon tueur
Mes jours sont comptés
Comme les secondes dans une heure
Sans jamais te lasser
Tu me traques sans relâche
comme un lâche
Ô voleur mon tueur
Les larmes qui traversent mes os
Te montre ma douleur
La peau sur les os
Voilà ce que ton compte en banque me laisse
Un maigre repas et une corde pendue au cou que tu appelles <<laisse>>
Ô voleur mon tueur
Tu as peur que je morde tes enfants
Alors que les miens tu les dévores
Tu racontes les histoires du grand méchant loup
Sans jamais raconter les histoires de l'Homme