Hier soir, je n’arrivais pas à dormir. Je n'ai fait que penser à lui. Aujourd’hui, je suis la première à arriver dans l’entreprise. Je suis dans mon bureau à feuilleter tous les dossiers que je dois lui faire signer. Je n’ai pas envie de le voir, il doit sûrement être arriver vu qu’il est 7h20.
J’arrive devant son bureau et je frappe, j’entre quand il me dit d’entrer.
« Bonjour monsieur, vous avez passé une bonne soirée ? » le demandé-je lui adressant un sourire hypocrite.
Il lève la tête de son ordinateur.
« Oui…tu arrives de bonne heure aujourd’hui. » remarque t-il.
Je m’approche de lui.
« Vous devez signer ces documents » en ignorant sa remarque.
Je prie Dieu intérieurement qu’il signe vite pour que je sorte de son stupide bureau.
« Voilà » en me donnant les papiers et le stylo, je les prends vite. « Attendez ! J’ai une dictée à vous faire faire. »
Arghh ! Pas de chance ! J’ai l’impression que Simon ne fait pas son travail.
« Allez, commencez à écrire ! »
Il commence à parler depuis plusieurs minutes, tandis que moi, je ne fais que le regarder avec mépris.
« Mais ça va pas !? »
Je sursaute quand je l’entends crier.
« Je parle depuis plusieurs minutes et vous n’avez encore rien écrit !!! »
« Je suis…je suis désolée monsieur mais… »
« Mais quoi ? Vous allez me donner une excuse ? »
Je n’arrive pas à parler, mes mains tremblent !
« Excusez-moi monsieur, donnez-moi deux minutes, je vais aux toilettes. » dis-je la voix tremblante me précipitant pour sortir.
J’arrive dans mon bureau et commence à pleurer.
« Pourquoi ça me touche ? Pourquoi je pleure ? Je ne l’ai jamais aimé. » me dis-je.
Je prend un mouchoir pour essuyer mes larmes. Le mouchoir est entièrement mouillé.
« Pour lui les femmes sont comme des mouchoirs en papier. Non mais pourquoi ça me préoccupe autant ? ça m’énerve ! Il est heureux alors pourquoi je suis triste ? »
Je me retourne et vois monsieur Dylan devant la porte. Je détourne le regard et lui tourne le dos.
« Qu’est-ce qu’il y a ? » me demande t-il. Je sens qu’il s’approche de moi. « Mais…tu pleure !? »
« Non, je ne pleure pas. Donnez-moi deux minutes et j’arrive. » dis-je en essuyant mes larmes.
« Je n'ai jamais vu une femme pleurer. Je pensais que c’étaient elles qui faisaient pleurer les autres » dit-il avec une mine triste dans sa voix.
« Monsieur, je travaille avec vous à longueur de journée. Est-ce que ça vous dérange de me laisser deux minutes pour me calmer ? »
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Amoureuse de mon patron 1
Lãng mạnAbby Anderson,une jeune fille de seulement 20 ans,elle vit avec son père depuis la mort de sa mère,son père est devenu un alcoolique parce qu'il a perdu son emploi de professeur,il va gaspiller touts leurs argents dans des bars,Abby va devoir travai...
