CHAPITRE 1 : Séparations

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CHAPITRE 1 : Séparation

- Papa... La plaque était ornée d'or, au centre des expression argentées reflètaient la lumière du jour : 

ICI REPOSE LE CHEVALIER D'OR 

JAKOL 

QUI A COMBATTU LES FORCES DES TÉNÈBRES DIRIGÉES PAR MARSET 

- Sino, viens manger! cria une voix 

- Oui maman! répondis-je. 

Nous vivions seul bruma et moi. Le roi de notre royaume, le royaume d' Istal nous envoyait l'argent naicessaire pour survrive, c'était la pension de mon père. 

- Après manger tu iras m'acheter deux coqs et deux poules au marché. Dit-elle. 

J'adorais aller au marché je pouvais voir mon meilleur ami stem, vu que c'étais son père qui dirigeait le poulailler. 

- Ok m'man 

Lorsque je suis arriver au marché j'ai était surpris de voir des traqueurs ici à Berlo un village très reculé au sud de la chaîne de montagne du royaume d' Istal. 

Je les ai reconnu par leur armure, un dragon noir était sculté dedans, puis je me suis souvenu que ma mère m'avait dit de fuir si j'en voyais, au moment où je voulais prendre mes jambes à mon coup, une main m'attrapa par le bras. 

- Et ptit gars c'est quoi ton nom? cracha un de ces recruteurs. Il était à moitié rasé, de grosses cernes se dessinaient en-dessous de ses yeux noir, ces cheveux sombre tout ebouriffé puaient, il avait sûrement bu. 

Alors ? lança-il. 

Sino msieur..., Sino...MORBOT ...dis-je avec difficulté. 

Le questioneur alcoolique lança un regard surpris à un de ses compatriote, on reconaissait grâce au dragon rouge qui était sculté dans son armure que c'était le chef. 

- Tu es le fils de Jakol? m'interrogea le chef d'une voix forte. 

- Oui! repondis-je fièrement. 

Il me tenda un emblème en forme de dragon et me menaça : 

- Demain à la même heure présente cet emblème aux gardes à l'entrée du village, nous partons pour la capitale du royaume d'Istal, Horador. 

Plusieurs enfants étaient convoqués, Stem y compris.  

Je suis allé acheter les annimaux recommandés par ma mère et je suis rentré à la maison. Après les avoir mis dans la grange je suis allé voir ma mère, elle me prit dans ses bras mais lorsqu'elle vit l'emblème, elle me lacha et hurla en pleurant : 

- JE T'AVAIS POURTANT PRVENU QUE TU DEVAIS COURRIR SI TU LES VOYAIS!... 

Je savais que c'était impossible de la réconforter cette fois-ci, les traqueurs éléminaient les familles qui voulaient fuir le recrutement, alors je suis allé dans ma chambre pour me préparer pour le voyage. Quand j'y pense j'avais seulement douze ans que j'allais voyager pour la première fois pendant plusieurs jours. 

Le lendemain je suis allé prier sur la tombe de mon père puis je suis rentré chez moi pour la dernière fois pour dire aurevoir à ma mère. 

- Bruma? répétais-je plusieurs fois. 

Quand soudain une main se posa sur mon épaule, je fis volte face, c'était ma mère, ses longs cheveux bruns bouclés me manqueront, autant que ses yeux bruns et sa peau blanche. Je ne les lui avaient pas érités, je ressemblais plus à mon père, cheveux court noir des yeux très sombres et une peau métisse. 

- Ton père voulait que je te les donnes lorsque le moment sera venu. dit-elle en me tendant un arc d'un bois lisse, clair, recouvert de feuillettes d'or avec son carquois. Puis une épée avec un manche couler or, confortable et magnifique, sur le métal froid argenté de la lame étaient inscrits les mots: 

Jakol le chevalier d'or. 

Je sentis alors de chaudes larmes coulées sur mon visage avant de sauter dans les bras de ma douce mère pour un dernier aurevoir...

LES CHEVALIERS D'OROù les histoires vivent. Découvrez maintenant