Chapitre.15

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Aaron: Bon aller faut qu'on se trouve un coin pour dormir avant qu'il commence à cailler, dit-il saouler.

Je sais que c'est sans doute la pire idée que j'ai jamais eue mais avant que ne m'en rende compte je dis :

Moi: Là, dis-je en lui montrant du doigt, y'a un coin couvert avec des canapées . . .

Putain pourquoi j'ai dis ça il vas encore croire que je m'intéresse à lui !

Il me lance un bref regard il part vers celui-ci, je le suis le regard dans le vide, pleine de fatigue.

Arriver au salon je m'installe sur un des canapées et le vois m'imiter avec autres. Je m'alonge et frisonne, je ne sais pas exactement l'heure qu'il est mais il commence à faire vraiment froid surtout avec le peu de vêtement que je porte!

Je me recroqueville et tente de me réchauffer avec mes mains, en vain, le froid est toujours belle et bien là, je ferme les yeux et essaie de penser à autre chose mais je commençais à perdre espoir et à me dire que j'allais mourir d'hypothermie quand

Je sens deux mains, ses mains, m'effleurée le visage

Aaron: Ouvre les yeux,me glisse-t-il à l'oreille.

Soudain, j'ouvre les yeux , un courant électrique me parcoure l'échine, il est accroupis devant moi, il est magnifique, ses cheveux sont en bataillent, ses yeux vert profond brillent et son visage est éclairé pas la lueur de la lune.

Il est parfait.

Nous nous asseyons, l'un à coter de l'autre, nos regards sont ancrés il passe ses doigt le long de ma joue et fini par les glissé au coins de mes lèvres. Ma respiration est irrégulière, nos yeux ne se quittent pas , il me déstabilise.

Il semble le remarqué car il esquisse un sourire. Je le regarde alors sans comprendre.

Aaron: Je te fait de l'effet ? Dit-il d'un aire moqueur.

Je le pousse et pose mes mains sur mon visage pour qu'il ne me vois pas rougir.

La honte, depuis quand je rougis moi?!

Il rit projetant sa tête en arrière, il est magnifique.

Aaron: Ne te cache pas, dit-il en me fixant.

Il s'approche peu à peu et s'arrête à quelques centimètres de mon visage. Son soufle chaud caresse mon visage gelée. Nos respirations sont irrégulières, tout à coup je comble le vide qui nous sépare . . .

Bad girl frequents bad BoyOù les histoires vivent. Découvrez maintenant